La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
Duel dont le récit trouve source dans la bible mais également le coran ( ici, Goliath prend le nom de Jalout.)
Il y est raconté que Goliath, géant, très fort, et meilleur combattant des philistins, mit au défi l'armée d'Israël de trouver leur champion pour le combattre, duel qui déterminera le sort de chacune des nations.
Cette provocation fut réitérée quotidiennement pendant 40 jours, matin et soir dans la vallée d’Elah, la vallée des térébinthes.
Finalement, David, jeune berger agréé par Dieu, releva le défi lancé par Goliath. Après avoir déclaré qu'il venait contre lui avec l'appui de Dieu, David lui jeta une pierre avec sa fronde. Celle-ci s'enfonça dans le front de Goliath qui tomba à terre. David lui prit son épée et acheva le géant en lui coupant la tête.
Plusieurs oeuvres rendirent hommage à ce récit. Le peintre Andrea Vaccaro fit cette oeuvre :
Et puis il y a le Goliath d'Achiam :
Il faut savoir qu'il y a un doute sur l'existence réelle de Goliath pour certains.
L'une des raisons tient essentiellement au fait que sa description ressemble plus à un hoplite grec de l'âge de fer qu'à un combattant mycénien de l'âge de bronze, ainsi qu'au fait qu'il n'existe aucune référence extra-biblique ou archéologique mentionnant Goliath.
Si Goliath a réellement existé, les chercheurs supposent que ce géant pouvait être atteint d'un affection appelée gigantisme.
En fait il s'agit d'une tumeur au niveau de la glande hypophyse ( responsable de la sécrétion de l'hormone de croissance) ce qui induit donc une sécrétion excessive. Lorsque cette tumeur apparaît à un jeune âge, c'est à dire : avant la sortie du stade de puberté et la fin de la croissance de l'individu, cela se traduit -entre autres- par une taille gigantesque. Tandis que si la tumeur apparaît à un age plus avancé, cela se traduira plutôt en un autre type d'affection : l’acromégalie.
Revenons donc à notre Niska !
Il se peut que cela ait pour sens que, lui étant aussi jeune ( âgé d'à peine 23 ans ) accaparant le devant de la scène en à peine quelques mois, soit presque tout aussi miraculeux que David achevant Goliath...
Il ajout en suite "C'est l'anarchie" , comme pour insister un peu sur la folie de la chose, l'étendue de son succès comme lorsque ce dernier bloqua le centre-ville de Strasbourg à cause de sa venue !
Tous ces fans se sont déplacés à cause d’un Tweet dans lequel il avait annoncé sa présence dans la cité alsacienne. Les médias locaux parlent de 1 000 à 2 000 personnes présentes, le rappeur en annonce lui plus de 3 000.
Bref ce fût L'ANARCHIE. Et puis, l'anarchie est aussi synonyme d'insensé. D'ailleurs les paroles suivantes expriment bien l'insensé de certaines choses qui font notre monde.
Les ados, êtres particulièrement fragiles.
Les Gravons : en argot signifiant une personne forte et balaise.
Bref, des fourmis voulant cogner des éléphants.
Baltringues : en argot signifie une personne qui n’a pas de parole ; incompétente, incapable, peureuse.
Par extension et péjorativement ça signifie : pédé, tapette ...bref !
À noter, que la féminisation du mot baltringue qui, normalement, est masculin, est apparue ces dernières années.
Vous l'aurez compris... Il règne sur le game. les baltringues ont donc fui, face à sa puissance.
Hara kiri / Seppuku : Littéralement "coupure au ventre" est une forme rituelle de suicide masculin par éventration, apparue au Japon vers le XIIe siècle dans la classe des samouraïs, et officiellement interdite en 1868.
Il était réalisé dans un temple en s'ouvrant l'abdomen à l'aide d'un wakizashi (sabre court) ou d'un poignard de type tantō, ce qui libère l'âme.
En fait, Le ventre est le siège de la volonté, du courage et des émotions en Asie : "Hara ookii" dont la traduction donne « vous avez un gros ventre » veut dire « vous avez un grand cœur »
Il faut savoir pour autant que, les japonais refusent de parler d’hara-kiri, le mot étant devenu à leurs lèvres vulgaire. On parle d’hara-kiri si le geste est pratiqué par les petits gens du peuple, par contre si ce sont les samouraïs qui se tranchent le ventre, on parle de seppuku.
l'une des raisons pour lesquelles ils ont recours à cet acte étant la défaite au combat : C’est le cas le plus connu, à la fin d’une bataille, plutôt que d’être capturé, le samouraï préfère se donner la mort lui-même. Ainsi il peut à la fois prouver son courage, et réparer l’échec de sa défaite. Il évite également, avec la torture, de livrer des secrets militaires de son clan.
Si l'on revient au contexte de la chanson, Il parlait juste avant des "baltringues" qui avaient fui la partie face à lui. On pourrait penser que par souci d' "honneur" face à un tel échec, il conseillerait à ces derniers le Hara Kiri ! D'ailleurs le terme est bien choisi puisqu'il ne s'agit pas de braves samuraïs, il n'y a donc pas lieu de parler de seppuku.
A titre d'info , Il y a un magazine satirique portant le nom "Hara Kiri". En fait il s'agit du magazine ancêtre de Charli Hebdo, après avoir été interdit ( Il y avait d'abord eu le Hara Kiri mensuel, qui ne fût pas interdit, puis Hara Kiri l'hebdo, c'est ce dernier qui fût interdit. ) Charlie Hebdo était apparu pour prendre la relève.
Boomin !!
Le fait qu'il dise boomin et juste après " comme à Tokyo " nous donne envie de penser au rappeur "Metro Boomin". Pourquoi ?
Et bien Tokyo est très connue pour son métro ! La station de métro de Tokyo est très souvent citée pour sa fréquentation hors-normes, à la limite de la saturation (surtout aux heures de pointe) Au point d'avoir besoin de "pousseurs".
Après bon, faut avouer qu'on comprend pas trop ce que tout ça vient faire ici... En tout cas, pour semer la confusion, il est fort !
Aie... Trop facile ! ça c'est du jeu de mots bas de gamme :s !
Alors ! Pour les plus jeunes d'entre vous, Yakalelo c'est cela :
Comme vous le voyez, le son date de 1998 ! c'était le tube de l'été à l'époque. Ce qui explique pourquoi il cite "cougar" en particulier.
de plus, selon Hamidou Takdjout, Yakalelo ne signifie rien, « c'est comme si on disait tralala »
On pourrait ainsi penser que c'est peut-être une métaphore signifiant qu'elle lui raconte n'importe quoi !
les familles musulmanes étant assez connues pour ce symbole des parents mis sur un piédestal !
les familles musulmanes étant assez connues pour ce symbole des parents mis sur un piédestal !
Hood : en anglais est une abréviation de neighborhood : quartier.
ou plus "rap-attitude" : tequar ! :3
Niska vient du 91, quartier particulièrement connu pour sa violence ! C'est la "rue" , la drogue, et tout les choses classées criminelles ...
Donc ! toutes les personnes faisant partie de ce milieu représentent pour lui "La famille"
Hood : en anglais est une abréviation de neighborhood : quartier.
ou plus "rap-attitude" : tequar ! :3
Niska vient du 91, quartier particulièrement connu pour sa violence ! C'est la "rue" , la drogue, et tout les choses classées criminelles ...
Donc ! toutes les personnes faisant partie de ce milieu représentent pour lui "La famille"
En fait, il est tellement riche ! que lorsqu'il va chez son banquier pour gérer son argent et surtout en retirer, il vérifie plusieurs fois au dessus de son épaule s'il n'est pas suivi, au risque de se faire voler !
Bigo signifie téléphone en argot !
Quoi de plus symbolique que le nombre d'appels pour refléter notre popularité.
Phrase limpide... J'ai seulement pensé aux noob de l'Argot :3
Coqué : baisé
Hess étant la misère !
Bref, même si il devait se retrouver dans la merde, il lui suffira de "pister" et donc surveiller et suivre son voisin pour le voler.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
Cuisine signifiant la drogue et plus précisément la cocaîne.
Khalis Argent en wolof, langue du Sénégal ( Pays d'origine du père de Booba )
Bref il nous apprend rien ! :3
Avec un casier aussi merveilleux que le sien, y a de quoi...
Qui ne connait pas Pinocchio ? Le petit être en bois au nez qui s'allonge au moindre mensonge...
Par contre l’ébéniste a moins de popularité ! Il s'agit de Geppetto.
Et oui ! Toute oeuvre a besoin d'auteur.
Pinnocchio est donc façonné de toute pièce par lui.
Booba se considère l'ébéniste qui sculpte les autres MC. Il est leur créateur, celui qui les manipule à sa guise.
Ce ne sera pas la première fois qu'il fera référence à pinocchio dans ses sons, puisque ce sera carrément le titre de l'un d'eux! Titre figurant sur l'album Nero Nemesis.
Milli en argot signifie L’armée en général, plus particulièrement le commandement militaire de l’école.
Hasch : Haschiche
Tise / Tiz : Drogue.
Booba est un vrai homme d'affaire !
Il a sa propre marque de Whisky :
Sa radio OKLM :
" Son " Entreprise dans le textile "Ünkut" :
Bref, finalement il a tellement de rentrée d'argent qu'il n'a même pas besoin de vendre des disques pour vivre.
Finalement il reflète par là que cela n'est pour lui que distraction, un plaisir.
Bériz signifiant Paris, en fait c'est ainsi que c'est prononcé en Arabe.
Et puis bien sûr ! Symbole de business : LA CHINE.
Ching : Est un gimmick tout récent inspiré du rappeur américain Young Thug.
Booba est un vrai homme d'affaire !
Il a sa propre marque de Whisky :
Sa radio OKLM :
" Son " Entreprise dans le textile "Ünkut" :
Bref, finalement il a tellement de rentrée d'argent qu'il n'a même pas besoin de vendre des disques pour vivre.
Finalement il reflète par là que cela n'est pour lui que distraction, un plaisir.
Bériz signifiant Paris, en fait c'est ainsi que c'est prononcé en Arabe.
Et puis bien sûr ! Symbole de business : LA CHINE.
Ching : Est un gimmick tout récent inspiré du rappeur américain Young Thug.
Booba est un vrai homme d'affaire !
Il a sa propre marque de Whisky :
Sa radio OKLM :
" Son " Entreprise dans le textile "Ünkut" :
Bref, finalement il a tellement de rentrée d'argent qu'il n'a même pas besoin de vendre des disques pour vivre.
Finalement il reflète par là que cela n'est pour lui que distraction, un plaisir.
Bériz signifiant Paris, en fait c'est ainsi que c'est prononcé en Arabe.
Et puis bien sûr ! Symbole de business : LA CHINE.
Ching : Est un gimmick tout récent inspiré du rappeur américain Young Thug.
Shoot! balle dans la tête !
voilà qui rappelle le morceau "chasse à l'homme" de Niska
Après avoir "Dézingué" celui qui le dérange, il ira au calme dans sa bagnole faire un tour.
Bugattiser venant préciser la marque de sa voiture qui n'est autre que "Bugatti"
Marque de voiture très luxueuse, elle a battu le record du monde en passant de 0 à 400km/h en 42 secondes.
Le hood n'est autre que le quartier.
À l'origine, le suffixe “‘zer” n'a aucune réelle signification. On l'ajoutait souvent à la fin des surnoms pour leur donner de l'intensité. Son étymologie supposée est la dernière syllabe du mot “misère”.
Aujourd'hui, Booba se l'est ré-approprié, et il est assez rare de l'entendre sans avoir une pensée pour lui. Il en aura d'ailleurs fait le titre d'une de ses chansons : " Zer".
B2O lui aura octroyé une signification en cette chanson : Le zer, à l'instar de l'euro, désigne une devise monétaire (cependant fictive).
Il dit d'ailleurs :
Zer, La nouvelle monnaie (marabout)
Zer la nouvelle monnaie (zer zer)
Il est dans cette voiture de luxe, dans son quartier, contraste intense. C'est la crise, les gens trouvent à peine de quoi tenir le mois.
Shoot! balle dans la tête !
voilà qui rappelle le morceau "chasse à l'homme" de Niska
Après avoir "Dézingué" celui qui le dérange, il ira au calme dans sa bagnole faire un tour.
Bugattiser venant préciser la marque de sa voiture qui n'est autre que "Bugatti"
Marque de voiture très luxueuse, elle a battu le record du monde en passant de 0 à 400km/h en 42 secondes.
Le hood n'est autre que le quartier.
À l'origine, le suffixe “‘zer” n'a aucune réelle signification. On l'ajoutait souvent à la fin des surnoms pour leur donner de l'intensité. Son étymologie supposée est la dernière syllabe du mot “misère”.
Aujourd'hui, Booba se l'est ré-approprié, et il est assez rare de l'entendre sans avoir une pensée pour lui. Il en aura d'ailleurs fait le titre d'une de ses chansons : " Zer".
B2O lui aura octroyé une signification en cette chanson : Le zer, à l'instar de l'euro, désigne une devise monétaire (cependant fictive).
Il dit d'ailleurs :
Zer, La nouvelle monnaie (marabout)
Zer la nouvelle monnaie (zer zer)
Il est dans cette voiture de luxe, dans son quartier, contraste intense. C'est la crise, les gens trouvent à peine de quoi tenir le mois.
Shoot! balle dans la tête !
voilà qui rappelle le morceau "chasse à l'homme" de Niska
Après avoir "Dézingué" celui qui le dérange, il ira au calme dans sa bagnole faire un tour.
Bugattiser venant préciser la marque de sa voiture qui n'est autre que "Bugatti"
Marque de voiture très luxueuse, elle a battu le record du monde en passant de 0 à 400km/h en 42 secondes.
Le hood n'est autre que le quartier.
À l'origine, le suffixe “‘zer” n'a aucune réelle signification. On l'ajoutait souvent à la fin des surnoms pour leur donner de l'intensité. Son étymologie supposée est la dernière syllabe du mot “misère”.
Aujourd'hui, Booba se l'est ré-approprié, et il est assez rare de l'entendre sans avoir une pensée pour lui. Il en aura d'ailleurs fait le titre d'une de ses chansons : " Zer".
B2O lui aura octroyé une signification en cette chanson : Le zer, à l'instar de l'euro, désigne une devise monétaire (cependant fictive).
Il dit d'ailleurs :
Zer, La nouvelle monnaie (marabout)
Zer la nouvelle monnaie (zer zer)
Il est dans cette voiture de luxe, dans son quartier, contraste intense. C'est la crise, les gens trouvent à peine de quoi tenir le mois.
Shoot! balle dans la tête !
voilà qui rappelle le morceau "chasse à l'homme" de Niska
Après avoir "Dézingué" celui qui le dérange, il ira au calme dans sa bagnole faire un tour.
Bugattiser venant préciser la marque de sa voiture qui n'est autre que "Bugatti"
Marque de voiture très luxueuse, elle a battu le record du monde en passant de 0 à 400km/h en 42 secondes.
Le hood n'est autre que le quartier.
À l'origine, le suffixe “‘zer” n'a aucune réelle signification. On l'ajoutait souvent à la fin des surnoms pour leur donner de l'intensité. Son étymologie supposée est la dernière syllabe du mot “misère”.
Aujourd'hui, Booba se l'est ré-approprié, et il est assez rare de l'entendre sans avoir une pensée pour lui. Il en aura d'ailleurs fait le titre d'une de ses chansons : " Zer".
B2O lui aura octroyé une signification en cette chanson : Le zer, à l'instar de l'euro, désigne une devise monétaire (cependant fictive).
Il dit d'ailleurs :
Zer, La nouvelle monnaie (marabout)
Zer la nouvelle monnaie (zer zer)
Il est dans cette voiture de luxe, dans son quartier, contraste intense. C'est la crise, les gens trouvent à peine de quoi tenir le mois.
Et oui. Roi, partout. D'ailleurs il en fait le titre de son album à venir "Trône"
Booba est très connu pour sa passion pour les voitures. Après la Bugatti, le voilà qu'il nous parle de son coupé ! Oui oui il en possède bien un !
Le luxe appelle la luxure...
Bref, voiture de luxe, prostituée... Pas besoin de nous faire un dessin oui.
Jnoun ici veut dire : diable.
En fait dans la religion musulmane, ( booba étant de père musulman) il est dit que lorsqu'un homme et une femme se retrouvent seuls dans une même pièce, il y a le diable avec eux.
Booba est très connu pour sa passion pour les voitures. Après la Bugatti, le voilà qu'il nous parle de son coupé ! Oui oui il en possède bien un !
Le luxe appelle la luxure...
Bref, voiture de luxe, prostituée... Pas besoin de nous faire un dessin oui.
Jnoun ici veut dire : diable.
En fait dans la religion musulmane, ( booba étant de père musulman) il est dit que lorsqu'un homme et une femme se retrouvent seuls dans une même pièce, il y a le diable avec eux.
Booba est très connu pour sa passion pour les voitures. Après la Bugatti, le voilà qu'il nous parle de son coupé ! Oui oui il en possède bien un !
Le luxe appelle la luxure...
Bref, voiture de luxe, prostituée... Pas besoin de nous faire un dessin oui.
Jnoun ici veut dire : diable.
En fait dans la religion musulmane, ( booba étant de père musulman) il est dit que lorsqu'un homme et une femme se retrouvent seuls dans une même pièce, il y a le diable avec eux.
Booba est très connu pour sa passion pour les voitures. Après la Bugatti, le voilà qu'il nous parle de son coupé ! Oui oui il en possède bien un !
Le luxe appelle la luxure...
Bref, voiture de luxe, prostituée... Pas besoin de nous faire un dessin oui.
Jnoun ici veut dire : diable.
En fait dans la religion musulmane, ( booba étant de père musulman) il est dit que lorsqu'un homme et une femme se retrouvent seuls dans une même pièce, il y a le diable avec eux.
Référence au morceau "Hardcore” de Kery James dit :
Dès qu'j'fait c'morceau, ça part en couille
J'entends une réaction de mauvais garçons dans la foule
Référence au morceau "Hardcore” de Kery James dit :
Dès qu'j'fait c'morceau, ça part en couille
J'entends une réaction de mauvais garçons dans la foule
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
La Trap est un courant musical issu du Dirty South apparu au début des années 2000 dans le sud des États-Unis. Avant d’appeler ça “la trap” on parlait de rap dirty south, ou encore "crunk". L'appellation « trap » est initialement utilisée pour désigner les lieux où se pratiquaient les trafics de drogue. Les fans et les critiques commencent à qualifier ces rappeurs, dont les textes avaient pour sujet principal le trafic de drogue, de « rappeurs trap ». Dans le magazine Complex, le journaliste David Drake écrit : « La trap, au début des années 2000, n'était pas un style mais une référence réelle aux lieux de trafic », et le terme est adopté plus tard pour décrire la « musique faite dans ces endroits. »
En France, la trap est souvent confondue avec la drill. Elle se différencie surtout de la drill au niveau des paroles, du message que l'on fait passer et non au niveau des sonorités ou des instrumentales qui sont sensiblement les mêmes. Quelques beatmakers sont connus pour leurs instrumentales trap/drill : Therapy, Wealstarr et Richie Beats font partie des plus populaires. À la suite du succès de Kaaris, puis de Gradur, la trap connait une émergence en France. D'autres rappeurs s'y sont mis comme Alonzo ou Lacrim et de nouveaux rappeurs à succès faisant des millions de vues sur YouTube se sont fait connaître comme notre Niska ou MHD.
Musicalement, techniquement la trap est réalisée à partir de rythmes lents, très lents. Ce sont les charleston, les “hi hat” qui font le job en terme de remuage de têtes et de giboles. Si le hip hop de nos parents tournait autour des 90 bpm (ce qu’on appelle par opposition “le boom bap“) la trap d’aujourd’hui flirte avec les 70 BPM (battements par minutes).
Mais alors pourquoi “la trap” et pas “le trap” ? Tout simplement par rapport aux “trap houses”, des taudits abandonnés squatté par des dealers qui cuisinent sur place, vendent sur place et si ça marche, monte un studio de rap dans la cave pour blanchir la monnaie en sortant des galettes vites faites, mal faites.. Quiconque a déjà utilisé un sampler Akai, une MPC sait à quel point un rythme trap n’est pas de plus compliqué à sortir. Par exemple l’emblématique producteur Lex Luger a produit plus de 260 titres entre 2010 et 2011.
La trap, c'est ce type d'instru électronique, souvent dark, avec un charleston complètement fou et des nappes de synthés inquiétantes que l'on entend sur quasiment tous les albums les plus vendus du genre actuellement. Elle conserve souvent le «drop» du dubstep, ce point culminant où la basse arrive après une longue progression et détruit les tympans dans un orgasme sonique.
Ces dernières années, certains affirment qu’elle n’est plus vraiment d’actualité, qu’elle a « fait son temps ».
Lorsque Niska dit “Regarde nous on brasse encore” il veut dire que l'affirmation précédente est tout à fait ridicule, car lui-même nage encore dedans. Et d'ailleurs ! Il en est maître puisque la brasse est une nage facile ce qui traduit la facilité et spontanéité qu'il a de maîtriser son art.
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !
En général le jour de paie est un jour béni ! Surtout pour ceux qui n'arrivent pas à "joindre les deux bouts" et qui se retrouvent souvent dans ce genre de situations avant la fin du mois...
Et c'est d'ailleurs ces même personnes qui, les jours de paie sont ...
Mais notre Niska, aussi riche que Crésus ne se précipite même pas pour toucher son argent. Il est même entrain de se permettre des folies, se faire plaisir avec sa bande, ce jour-là tant l'argent lui est abondant !