Ici, le rappeur Sofiane, fais une métaphore pour dire qu'il n'a pas le temps, il rentre dans le rap sans faire la queue. Il prend la bande d'arrêt d'urgence = celle-ci étant réservé au véhicules d'urgence (Samu -pompier-policier ), il se fait sa place lui-même et fait référence à sa réussite. comme on peut comprendre qu'il parle ici de son itinéraire en tant qu'entrepreneur, en disant qu'il n'a pas emprunté le même chemin que les autres, celui symbolisé par la « file », qui demande de la patience et du temps. Lui a préféré emprunté la « bande d'arrêt », celle de l'autoroute, métaphore symbolisant un chemin plus rapide, moins encombré, mais illégal. Il affirme donc qu'il a dû vivre dans l'illégalité pour progresser socialement, dans l'urgence, car les chemins plus conventionnels ne permettent pas à un jeune défavorisé de progresser rapidement.
Fianso décrit son environnement, ses fréquentations, qui selon lui sont mauvaises car il finit par agir comme « la moitié de sa ville » en buvant de l'alcool. Il dénonce alors la détresse des quartiers pauvres, desquels les habitants sont souvent en proie aux vices de l'addiction à cause de leur condition sociale. Sofiane affirme alors n'être que le produit de son environnement, puisqu'il est mal influencé par ce dernier.
Il fait ici référence à ses collègues, connaissances, amis de son quartier et de ses alentours qui peuvent êtres caractérisées de "racailles" ou "marginaux."
On le rappelle, Sofiane vient du quartier du Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis dans le 93.
Comme on le sait, les villes ou quartier dits «pauvres », ont un lien assez étroit avec l’alcool. Les rappeurs ont également un lien fort avec l’alcool (boites de nuits, clips, luxe). Il peut également faire référence a l’ivresse en son sens L'ivresse qui correspond à un état d'exaltation correspondant à une excitation intellectuelle
Sofiane fait référence au titre du film « Le diable s'habille en Prada » de David Frankel (film dénonçant la superficialité de la société actuelle). Il cherche ici à montrer son indifférence face au monde extérieur, marquée par le « j'm'en bats les couilles ». Il cherche aussi à dénoncer la multiplicité des apparences, le mal pouvant prendre plusieurs formes (le diable pouvant s'habiller « comme il veut »). Son indifférence face à cette préoccupation de la société montre qu'il n'en fait pas partie, qu'il se démarque d'elle notamment par son passé marqué par la difficulté.
Sofiane fait référence au titre du film « Le diable s'habille en Prada » de David Frankel (film dénonçant la superficialité de la société actuelle). Il cherche ici à montrer son indifférence face au monde extérieur, marquée par le « j'm'en bats les couilles ». Il cherche aussi à dénoncer la multiplicité des apparences, le mal pouvant prendre plusieurs formes (le diable pouvant s'habiller « comme il veut »). Son indifférence face à cette préoccupation de la société montre qu'il n'en fait pas partie, qu'il se démarque d'elle notamment par son passé marqué par la difficulté.
Ici « Hier » et « demain matin » sont des métaphores, respectivement du passé et du futur. Les deux font également l'objet d'un hypallage (donner des aptitudes humaines à des concepts abstraits). Il explique donc que le passé est plein de regrets, ou qu'il a été dur, et donc il n'est pas préférable de s'en rappeler ; tandis que l'avenir ne semble pas radieux puisqu'il « parle mal », comme un devin annonçant un malheur, mais ici de manière plus quotidienne, ce qui correspond à la réalité d'une vie de quartier.
On pourrait rappeler la line du célèbre rappeur du 94, Rohff avec son titre - regretté « Je suis né poussière et je repartirais poussière »,
Sofiane nous explique que l’etre humain est égoïste et pense uniquement a ses intérêts. Il fait références a ses trahisons et déceptions humaines et le fait qu’avant d’être exposé au grand public, les gens n’allaient pas dans son sens, et qu’il a du se forger seul au gré du vent. et puis il exprime sa solitude, qui est peut-être due au fait que les gens ne le comprennent pas. Il dit pourtant passer au-delà de ça, disant qu'il va mener son existence, sa carrière, seul en se débrouillant. Il montre ainsi sa détermination, le « puisque c'est comme ça » montrant qu'il a accepté cette solitude. en plus ici,Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres et de leur faire confiance, surtout pour révéler ses faiblesses et ses souffrances (« comme t'as mal ») puisque les autres ne pourront selon lui rien y faire, ils ne comprendront jamais la douleur qu'il n'ont pas vécue. Cette fois, il met en avant l'égoïsme, non pas de l'autre, mais de l'homme en général, ce qui est marqué par le « tout l'monde », ce qui également la chose « principale » dans ce monde. Cet égoïsme empêche de s'ouvrir sur l'autre et de se préoccuper de ses problèmes, car on « s'en fout », car chacun essaie de mener sa vie comme il peut.
On pourrait rappeler la line du célèbre rappeur du 94, Rohff avec son titre - regretté « Je suis né poussière et je repartirais poussière »,
Sofiane nous explique que l’etre humain est égoïste et pense uniquement a ses intérêts. Il fait références a ses trahisons et déceptions humaines et le fait qu’avant d’être exposé au grand public, les gens n’allaient pas dans son sens, et qu’il a du se forger seul au gré du vent. et puis il exprime sa solitude, qui est peut-être due au fait que les gens ne le comprennent pas. Il dit pourtant passer au-delà de ça, disant qu'il va mener son existence, sa carrière, seul en se débrouillant. Il montre ainsi sa détermination, le « puisque c'est comme ça » montrant qu'il a accepté cette solitude. en plus ici,Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres et de leur faire confiance, surtout pour révéler ses faiblesses et ses souffrances (« comme t'as mal ») puisque les autres ne pourront selon lui rien y faire, ils ne comprendront jamais la douleur qu'il n'ont pas vécue. Cette fois, il met en avant l'égoïsme, non pas de l'autre, mais de l'homme en général, ce qui est marqué par le « tout l'monde », ce qui également la chose « principale » dans ce monde. Cet égoïsme empêche de s'ouvrir sur l'autre et de se préoccuper de ses problèmes, car on « s'en fout », car chacun essaie de mener sa vie comme il peut.
On pourrait rappeler la line du célèbre rappeur du 94, Rohff avec son titre - regretté « Je suis né poussière et je repartirais poussière »,
Sofiane nous explique que l’etre humain est égoïste et pense uniquement a ses intérêts. Il fait références a ses trahisons et déceptions humaines et le fait qu’avant d’être exposé au grand public, les gens n’allaient pas dans son sens, et qu’il a du se forger seul au gré du vent. et puis il exprime sa solitude, qui est peut-être due au fait que les gens ne le comprennent pas. Il dit pourtant passer au-delà de ça, disant qu'il va mener son existence, sa carrière, seul en se débrouillant. Il montre ainsi sa détermination, le « puisque c'est comme ça » montrant qu'il a accepté cette solitude. en plus ici,Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres et de leur faire confiance, surtout pour révéler ses faiblesses et ses souffrances (« comme t'as mal ») puisque les autres ne pourront selon lui rien y faire, ils ne comprendront jamais la douleur qu'il n'ont pas vécue. Cette fois, il met en avant l'égoïsme, non pas de l'autre, mais de l'homme en général, ce qui est marqué par le « tout l'monde », ce qui également la chose « principale » dans ce monde. Cet égoïsme empêche de s'ouvrir sur l'autre et de se préoccuper de ses problèmes, car on « s'en fout », car chacun essaie de mener sa vie comme il peut.
Pirates pouvant faire référence a un mec de quartier (ratpis) Il fait allusion a son enfance et son mode de vie , la vie qu’il a mené due a ses origines et son environnement. ensuite, le rappeur revient encore sur son passé, utilisant la métaphore d'un bateau pirate, ce qui exprime donc l'illicite et la criminalité, pour décrire son environnement. Il dit qu'il « allai[t] avec le vent » pour montrer qu'il ne faisait pas de choix, que la vie l'entraînait là où elle le voulait, comme le vent pousse un bateau pirate. Il dit ainsi qu'il n'était pas entièrement responsable de cette vie.
le rappeur fait allusion a ses bagarres , et luttes quelles soient au premier ou second degrés.On a ici un chiasme (deux structures de phrase contraire l'une de l'autre qui se suivent), qui montre encore une fois que Sofiane n'est pas responsable de sa violence et qu'elle résulte de son environnement. Il explique ainsi qu'il était victime avant d'être bourreau, sous-entendant que subir la violence l'a poussé à la commettre.
Ici le double sens fait références a l’expression « les bruits qui courent » autrement dit les ragots mais également les enfants (ou adultes) qui courent en faisant du bruits. en plus, Sofiane explique que son environnement est toujours en proie à une agitation forte, avec l'utilisation successive des mots « chahut » et « boucan », suggérant une ambiance assourdissante. Pourtant ce bruit est là même quand « c'est calme », comme pour dire que le repos est impossible même dans la tranquillité. On peut alors comprendre que le bruit, le vacarme, est une métaphore pour la violence, omniprésente sans relâche, de laquelle on ne peut pas prendre ses disatnces.
Sofiane oppose ici les « bruits qui courent », autrement dit les rumeurs, et le bruit d'une moto qui démarre. Ainsi, il oppose l'action et la parole (l'inaction), l'action étant le fait d' « autres », qui se démarquent du reste, montrant que peu osent passer à l'action. Il peut tout aussi faire plus simplement référence aux bruits qui règnent dans un quartier, qui se résument à des rumeurs et des bruits de moteur.
Ici le double sens fait références a l’expression « les bruits qui courent » autrement dit les ragots mais également les enfants (ou adultes) qui courent en faisant du bruits. en plus, Sofiane explique que son environnement est toujours en proie à une agitation forte, avec l'utilisation successive des mots « chahut » et « boucan », suggérant une ambiance assourdissante. Pourtant ce bruit est là même quand « c'est calme », comme pour dire que le repos est impossible même dans la tranquillité. On peut alors comprendre que le bruit, le vacarme, est une métaphore pour la violence, omniprésente sans relâche, de laquelle on ne peut pas prendre ses disatnces.
Sofiane oppose ici les « bruits qui courent », autrement dit les rumeurs, et le bruit d'une moto qui démarre. Ainsi, il oppose l'action et la parole (l'inaction), l'action étant le fait d' « autres », qui se démarquent du reste, montrant que peu osent passer à l'action. Il peut tout aussi faire plus simplement référence aux bruits qui règnent dans un quartier, qui se résument à des rumeurs et des bruits de moteur.
Ici le double sens fait références a l’expression « les bruits qui courent » autrement dit les ragots mais également les enfants (ou adultes) qui courent en faisant du bruits. en plus, Sofiane explique que son environnement est toujours en proie à une agitation forte, avec l'utilisation successive des mots « chahut » et « boucan », suggérant une ambiance assourdissante. Pourtant ce bruit est là même quand « c'est calme », comme pour dire que le repos est impossible même dans la tranquillité. On peut alors comprendre que le bruit, le vacarme, est une métaphore pour la violence, omniprésente sans relâche, de laquelle on ne peut pas prendre ses disatnces.
Sofiane oppose ici les « bruits qui courent », autrement dit les rumeurs, et le bruit d'une moto qui démarre. Ainsi, il oppose l'action et la parole (l'inaction), l'action étant le fait d' « autres », qui se démarquent du reste, montrant que peu osent passer à l'action. Il peut tout aussi faire plus simplement référence aux bruits qui règnent dans un quartier, qui se résument à des rumeurs et des bruits de moteur.
Sofiane décrit là encore son environnement et ses fréquentations, de manière péjorative puisqu'il dit clairement que leur fréquentation fait du mal à sa santé. On ne sait pas s'il s'agit de sa santé physique ou de sa santé mentale, mais le verbe « dévier » à tendance à plus se rapporter à l'état mental, ce qui serait en continuité avec le « bizarre » qui décrit ses connaissance.
Ici Sofiane affirme qu'il n'a jamais inventé d'histoire, ni jouer un rôle.Comme si il juré sur sa vie qu'il ne s'en invente pas une. On peut également comprendre qu'il se serait déjà fait tuer si ce n'était pas un vrai "bonhomme ".fianso dit qu'il se doit de rester lui-même, qu'il s'agit presque d'une nécessité vitale. Il sous-entend qu'il reste vrai depuis le début en disant qu'il serait déjà enterré depuis longtemps s'il s'était pris pour quelqu'un d'autre. On peut comprendre le « cimetière » comme une métaphore de l'échec en tant que rappeur, indiquant donc qu'il est nécessaire de rester vrai dans le rap, de rester honnête avec son public sous peine d'échec.
On peut ici revoir une référence à la dernière ligne du 1er couplet "Y'a des bruits qui courent et d'autres qui font démarrer la bécane, Fianso" Autrement dit, tout se sait un jour ou l'autre.
Les murs ont des oreilles, de nos jours les choses se savent très vite, encore plus dans un quartier.Il veut dire que si tu as fait du mal ou de mauvaises actions, un jour ou l'autre tu le paieras.
Ici le rappeur s'adresse à quelqu'un qui a dû lutter durement pour survivre afin de lui dire qu'il est inutile de le cacher, puisque tout le monde le sait. L'évocation de Dieu sert à dire que la misère ne peut pas se cacher, qu'elle est visible. En effet, Dieu serait le seul capable de connaître absolument tous les secrets de chacun. Dire qu ce secret est visible aussi par les hommes ramène les fautes commises à la réalité et au jugement social, ce qui fragilise le coupable.
On peut ici revoir une référence à la dernière ligne du 1er couplet "Y'a des bruits qui courent et d'autres qui font démarrer la bécane, Fianso" Autrement dit, tout se sait un jour ou l'autre.
Les murs ont des oreilles, de nos jours les choses se savent très vite, encore plus dans un quartier.Il veut dire que si tu as fait du mal ou de mauvaises actions, un jour ou l'autre tu le paieras.
Ici le rappeur s'adresse à quelqu'un qui a dû lutter durement pour survivre afin de lui dire qu'il est inutile de le cacher, puisque tout le monde le sait. L'évocation de Dieu sert à dire que la misère ne peut pas se cacher, qu'elle est visible. En effet, Dieu serait le seul capable de connaître absolument tous les secrets de chacun. Dire qu ce secret est visible aussi par les hommes ramène les fautes commises à la réalité et au jugement social, ce qui fragilise le coupable.
L'épilogue (du grec επι (epi) : au-dessus et λογος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce. Fianso exprime son impuissance face à l'incrédulité de la masse, de la société, contre laquelle les paroles d'un seul homme ont trop peu d'effet, même quand il s'agit de vengeance. En revanche, on ne sait pas contre quoi il désire se venger, peut-être contre la société, qui lui a imposé un passé difficile duquel il voudrait prendre sa revanche. On a ici un chiasme qui exprime les deux difficultés que connaît Sofiane dans sa vie : celle d'une vie humaine normale (car tout le monde cherche à tuer le temps) confrontée à une vie dangereuse où on essaye de le tuer. Il doit donc faire face à l'ennui, au temps qui passe, à l'inaction, mais aussi à la menace de son assassinat. il désigne ainsi l'objectif qu'il voulait atteindre : que les gens changent leur regard sur lui, grâce à son évolution sociale. Son objectif car il pensait qu'il s'agirait de l' « épilogue » (qui désigne l'accomplissement d'une histoire), sans doute de sa vie, après quoi il n'aurait plus de soucis. Le fait qu'il le pensait montre que ce n'est alors pas le cas, que même si le regard des gens a changé, il n'est pourtant pas au bout de ses peines.
L'épilogue (du grec επι (epi) : au-dessus et λογος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce. Fianso exprime son impuissance face à l'incrédulité de la masse, de la société, contre laquelle les paroles d'un seul homme ont trop peu d'effet, même quand il s'agit de vengeance. En revanche, on ne sait pas contre quoi il désire se venger, peut-être contre la société, qui lui a imposé un passé difficile duquel il voudrait prendre sa revanche. On a ici un chiasme qui exprime les deux difficultés que connaît Sofiane dans sa vie : celle d'une vie humaine normale (car tout le monde cherche à tuer le temps) confrontée à une vie dangereuse où on essaye de le tuer. Il doit donc faire face à l'ennui, au temps qui passe, à l'inaction, mais aussi à la menace de son assassinat. il désigne ainsi l'objectif qu'il voulait atteindre : que les gens changent leur regard sur lui, grâce à son évolution sociale. Son objectif car il pensait qu'il s'agirait de l' « épilogue » (qui désigne l'accomplissement d'une histoire), sans doute de sa vie, après quoi il n'aurait plus de soucis. Le fait qu'il le pensait montre que ce n'est alors pas le cas, que même si le regard des gens a changé, il n'est pourtant pas au bout de ses peines.
L'épilogue (du grec επι (epi) : au-dessus et λογος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce. Fianso exprime son impuissance face à l'incrédulité de la masse, de la société, contre laquelle les paroles d'un seul homme ont trop peu d'effet, même quand il s'agit de vengeance. En revanche, on ne sait pas contre quoi il désire se venger, peut-être contre la société, qui lui a imposé un passé difficile duquel il voudrait prendre sa revanche. On a ici un chiasme qui exprime les deux difficultés que connaît Sofiane dans sa vie : celle d'une vie humaine normale (car tout le monde cherche à tuer le temps) confrontée à une vie dangereuse où on essaye de le tuer. Il doit donc faire face à l'ennui, au temps qui passe, à l'inaction, mais aussi à la menace de son assassinat. il désigne ainsi l'objectif qu'il voulait atteindre : que les gens changent leur regard sur lui, grâce à son évolution sociale. Son objectif car il pensait qu'il s'agirait de l' « épilogue » (qui désigne l'accomplissement d'une histoire), sans doute de sa vie, après quoi il n'aurait plus de soucis. Le fait qu'il le pensait montre que ce n'est alors pas le cas, que même si le regard des gens a changé, il n'est pourtant pas au bout de ses peines.
Sofiane pensait que son succès (ou autre ) aurait brièvement suscité un changement de regard sur sa personne mais il s'aperçoit que cela ne cesse pas. Cela dure plus longtemps qu'il l'aurait imaginé.Sofiane utilise une métaphore pour souligner le passage rapide du temps, qui se compte, à la manière d'une série, en « épisodes ». On peut également lire cette métaphore comme une volonté de montrer que le temps est cyclique ; là où le déroulement des années permet une évolution, des changements, des épisodes correspondent plus à un temps qui se répète, où les choses évoluent très lentement, ce qui pourrait montrer qu'il n'y a pas beaucoup de différences entre sa nouvelle vie d'artiste et son ancienne vie de délinquant.
Le rappeur sofiane ici évoque ses soirées, nuits qui finissent tard ,et nous informe que cela n'est pas prêt de finir.
il dit qu'il sent qu'il va devoir travailler dur toute sa vie, « courir après mes nuits » pouvant se comprendre par rattraper son sommeil, sommeil qu'il perd à cause du travail ou des affaires illicites. Le côté éternel de cette poursuite est rendue par l'antithèse entre « nuits » et « jours », qui donne là encore un aspect cyclique au temps.
Sofiane dit qu'il est désorienté, perdu dans la vie qu'il mène et ce depuis longtemps. Ici on a l'expression « perdre le nord », qui traduit une perte de repères, un manque d'objectif, il ne sait plus où sa vie le mène, tellement qu'il en a le « plafond qui tourne » (il a des vertiges), ce qui souligne la notion de désorientation et de perte de repères.
Jesus marie Youssef = en référence au catholicisme et leur signe de croix de la main = Jesus marie Joseph.
Fianso dit ici qu'il refuse d'avoir du pouvoir (symbolisé par le « trône ») même si celui-ci venait de Dieu. Il refuse de dominer les autres, ses « frères », car il en a peur ; peur peut-être de voir ces derniers convoiter sa place et lui vouloir du mal, peur qu'il n'ose pas avouer en utilisant le « bref » au lieu de révéler une autre raison d'avoir peur. Il revisite également l'expression catholique « Jésus Marie Joseph » en remplaçant Jospeh par son équivalent arabe Youssef, ce qui peut-être pourrait vouloir dire qu'il n'a plus confiance en des symboles religieux, qu'il s'amuse à modifier.
Jesus marie Youssef = en référence au catholicisme et leur signe de croix de la main = Jesus marie Joseph.
Fianso dit ici qu'il refuse d'avoir du pouvoir (symbolisé par le « trône ») même si celui-ci venait de Dieu. Il refuse de dominer les autres, ses « frères », car il en a peur ; peur peut-être de voir ces derniers convoiter sa place et lui vouloir du mal, peur qu'il n'ose pas avouer en utilisant le « bref » au lieu de révéler une autre raison d'avoir peur. Il revisite également l'expression catholique « Jésus Marie Joseph » en remplaçant Jospeh par son équivalent arabe Youssef, ce qui peut-être pourrait vouloir dire qu'il n'a plus confiance en des symboles religieux, qu'il s'amuse à modifier.
Sofiane reprend la même phrase qu'au premier couplet, en remplaçant le « vous » par le « nous », ce qui signifie cette fois qu'il refuse, par sa solitude, toute idée de groupe, d'association ou même de couple, qu'il refuse presque pour se venger de sa solitude.
ensuite, il indique son itinéraire, qu'il compare à une chasse au trésor. Il revient donc à l'analogie faite avec la piraterie précédemment. Il dit qu'il sera « solo pour compter son trésor », ce qui peut se comprendre par profiter de son succès seul, car personne ne l'a aidé.
Sofiane reprend la même phrase qu'au premier couplet, en remplaçant le « vous » par le « nous », ce qui signifie cette fois qu'il refuse, par sa solitude, toute idée de groupe, d'association ou même de couple, qu'il refuse presque pour se venger de sa solitude.
ensuite, il indique son itinéraire, qu'il compare à une chasse au trésor. Il revient donc à l'analogie faite avec la piraterie précédemment. Il dit qu'il sera « solo pour compter son trésor », ce qui peut se comprendre par profiter de son succès seul, car personne ne l'a aidé.
Comme au premier couplet, Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres à cause de leur indifférence. Cette fois-ci, il dit, à l'inverse du premier couplet, qu'il ne faut pas « ouvrir son coeur », c'est à dire expliciter aux autres son amour, son affection. Il montre ainsi que peu importe la relation, l'autre sera toujours hermétique à ce qu'on lui révèle avec peine.
Sofiane oppose ici deux mondes, un qui voit le bonheur et la vie comme quelque chose d'exceptionnel, qui mérite une célébration, et un autre qui soit côtoie la mort, qui rend hommage aux décédés, célébrant avec solennité, soit désir la mort et la voit comme une libération. Ce « eux », c'est ceux qui n'ont pas connu la même vie que Sofiane, qu'il identifie comme « nous », pour qui la mort est plus habituelle. Il nous livre donc une vision très pessimiste du monde, de son monde, qui vit sans cesse dans la gravité et connaît difficilement le bonheur.
Comme au premier couplet, Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres à cause de leur indifférence. Cette fois-ci, il dit, à l'inverse du premier couplet, qu'il ne faut pas « ouvrir son coeur », c'est à dire expliciter aux autres son amour, son affection. Il montre ainsi que peu importe la relation, l'autre sera toujours hermétique à ce qu'on lui révèle avec peine.
Sofiane oppose ici deux mondes, un qui voit le bonheur et la vie comme quelque chose d'exceptionnel, qui mérite une célébration, et un autre qui soit côtoie la mort, qui rend hommage aux décédés, célébrant avec solennité, soit désir la mort et la voit comme une libération. Ce « eux », c'est ceux qui n'ont pas connu la même vie que Sofiane, qu'il identifie comme « nous », pour qui la mort est plus habituelle. Il nous livre donc une vision très pessimiste du monde, de son monde, qui vit sans cesse dans la gravité et connaît difficilement le bonheur.
Comme au premier couplet, Fianso met en garde contre le fait de s'ouvrir aux autres à cause de leur indifférence. Cette fois-ci, il dit, à l'inverse du premier couplet, qu'il ne faut pas « ouvrir son coeur », c'est à dire expliciter aux autres son amour, son affection. Il montre ainsi que peu importe la relation, l'autre sera toujours hermétique à ce qu'on lui révèle avec peine.
Sofiane oppose ici deux mondes, un qui voit le bonheur et la vie comme quelque chose d'exceptionnel, qui mérite une célébration, et un autre qui soit côtoie la mort, qui rend hommage aux décédés, célébrant avec solennité, soit désir la mort et la voit comme une libération. Ce « eux », c'est ceux qui n'ont pas connu la même vie que Sofiane, qu'il identifie comme « nous », pour qui la mort est plus habituelle. Il nous livre donc une vision très pessimiste du monde, de son monde, qui vit sans cesse dans la gravité et connaît difficilement le bonheur.