L'appel de phare est un avertissement souvent utilisé d'une voiture à une autre en face pour attirer son attention.
Il est souvent utilisé aussi pour signaler la présence d'un Radar ou un barrage de police.
Keblack crée un parallèle avec sa voisine qui lui fait des appels de phare (essaye d'attirer son attention).
Keblack, qui a l'habitude de décrire des réalités de la société dans la quelle on vit attire notre attention sur les violences conjugales.
Il faut savoir qu'en France, une femme décède tous les 3 jours victime de son copain ou ex-copain.
La schizophrénie est un dédoublement de personnalité : la personne atteinte de cette maladie devient très lunatique et peut changer en très peu de temps de caractère.
Verlan du mot "Quartier".
L'aide dont parle Keblack est le fait d'être accepté dans un réseau de trafique de drogue.
Le fait d'accepter cette "aide", veut expressément dire appartenir à ce réseau.
Il s'agit donc d'un secret vu que le propre de la survie de ce type de réseaux est de rester les plus discrets que possible et ne pas se faire remarquer, c'est pourquoi "ça, il ne faut pas le dire".
Le fait d'entrer dans ce type de réseau expose bien-entendu à des risques dont parle Keblack, qui sont les perquisitions de police (qui sont à la recherche de drogue), le fait de s'exposer une fois que les policiers rentrer dans l'appart (ils peuvent trouver les cartouches de balles cachées sous le matelas).
Un séjour aux Maldives est très coûteux, une seule nuit dans un bungalow sur pilotis se chiffre au minimum à 1000€ / nuitée. Pour s'en aller aux Maldives, il faut donc faire beaucoup d'argent.
La seule solution que certains jeunes trouvent est de bicrave (vendre de la drogue). Ils doivent donc s'investir pour faire de l'argent, acheter en gros, détailler, et vendre pour se payer ce voyage.
L'aide dont parle Keblack est le fait d'être accepté dans un réseau de trafique de drogue.
Le fait d'accepter cette "aide", veut expressément dire appartenir à ce réseau.
Il s'agit donc d'un secret vu que le propre de la survie de ce type de réseaux est de rester les plus discrets que possible et ne pas se faire remarquer, c'est pourquoi "ça, il ne faut pas le dire".
Le fait d'entrer dans ce type de réseau expose bien-entendu à des risques dont parle Keblack, qui sont les perquisitions de police (qui sont à la recherche de drogue), le fait de s'exposer une fois que les policiers rentrer dans l'appart (ils peuvent trouver les cartouches de balles cachées sous le matelas).
L'aide dont parle Keblack est le fait d'être accepté dans un réseau de trafique de drogue.
Le fait d'accepter cette "aide", veut expressément dire appartenir à ce réseau.
Il s'agit donc d'un secret vu que le propre de la survie de ce type de réseaux est de rester les plus discrets que possible et ne pas se faire remarquer, c'est pourquoi "ça, il ne faut pas le dire".
Le fait d'entrer dans ce type de réseau expose bien-entendu à des risques dont parle Keblack, qui sont les perquisitions de police (qui sont à la recherche de drogue), le fait de s'exposer une fois que les policiers rentrer dans l'appart (ils peuvent trouver les cartouches de balles cachées sous le matelas).
La visite dont parle Keblack n'est pas une visite de courtoisie mais une "Descente de Flics". En d'autres termes, une Perquisition.
Souvent ce type d'actions policières se fait le matin a 6h. Au moment ou on s y attend le moins.
Les paparazzis ne sont pas les photographes des Stars mais des policiers en cachette qui essayent d'avoir un maximum de preuves pour charger les trafiquants.
Le guetteur est l'échelle la plus basse dans l'organisation de vente de drogue mais pas des moins importantes.
Il s'agit du seul rempart pour les vendeurs de drogue pour éviter les décentes de police. Vu que le guetteur les averti de l'arrivée des policiers ou tout mouvement suspect.
Keblack avoue que son quartier est cité sur les chaines d'informations pour des crimes.
Il parle aussi de diversions et de mensonges pour masquer la réalité ou la pervertir.
Les chaines d'information continue sont souvent friandes de ces "balivernes" qui permettent de "créer le buzz" et d'avoir plus d'audience.
Etant donné que le quartier est dans un ghetto, et que tout le monde est cloitré dans ce quartier. Tout le monde connait tout le monde.
Ce qui fait que chacun sait ce que fait l'autre. Même si les activités de certains sont illégales.
Ce qui crée une certaine loi de l'Omerta (Loi du Silence).
Tout le monde sait, mais personne ne sait.
Etant donné que le quartier est dans un ghetto, et que tout le monde est cloitré dans ce quartier. Tout le monde connait tout le monde.
Ce qui fait que chacun sait ce que fait l'autre. Même si les activités de certains sont illégales.
Ce qui crée une certaine loi de l'Omerta (Loi du Silence).
Tout le monde sait, mais personne ne sait.
Les armes issus d'Europe de l'Est (anciennes républiques de l'URSS) sont les plus présentes dans le grand banditisme en France.
Ceci est occasionné par la Zone de Schenguen et de libre circulation des personnes et des marchandises.
En France, 4 à 5 000 armes sont saisies chaque année, dont une part infime de Kalachnikovs (5%). Ce qui ne veut pas dire qu'il y en a peu qui circulent.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Il revient a parler de la femme qui se fait battre par son mari a la quelle il faisait référence au début de la chanson dans la deuxième ligne.
Il décrit là, la monoparentalité subie par la femme qui a fini par divorcer à cause des sévisses qu'elle recevait de la part de son ex-mari.
Il traite là de la forme de violence physique la plus subie par les femmes dans le mode. La violence conjugale.
Pas moins de 10% de femmes en France sont victimes de violences conjugales. Des violences qui sont souvent gardées sous silence (2 femmes sur 3 n'en parlent pas).
Là, il donne la parole a cette femme pour qu'elle parle du traumatisme qu'elle a vécu avec son ex-mari qui la battait physiquement.
Il traite là de la forme de violence physique la plus subie par les femmes dans le mode. La violence conjugale.
Pas moins de 10% de femmes en France sont victimes de violences conjugales. Des violences qui sont souvent gardées sous silence (2 femmes sur 3 n'en parlent pas).
Là, il donne la parole a cette femme pour qu'elle parle du traumatisme qu'elle a vécu avec son ex-mari qui la battait physiquement.
Les femmes battues ne quittent pas le domicile conjugale souvent parce qu’elles ont peur de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de leurs enfants et sont sous l'emprise financière et morale de leur partenaire (qu'on peut qualifier de prédateur, vu qu'il est dans une relation de dominant-dominée).
Cette femme battue qui habite au deuxième étage est obligée donc de trouver une solution financière pour subvenir aux besoins de ses enfants. Ce qui renvoie aux difficultés financières des parents monoparentaux.
A la place de deux personnes qui s'entre-aident pour stabiliser une situation de famille, une seule personne se retrouve à tout faire. D’où le problème.
Comme si, toutes les galères de la femme battue ne suffisaient pas. Même la voiture ne veut pas démarrer le matin pour qu'elle puisse aller travailler pour pouvoir payer les factures et subvenir aux besoins de ses deux enfants.
La femme battue a perdu confiance en soit et n'arrive plus à se confronter à la vie avec assurance.
Il se demande encore si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Il se demande encore si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Il se demande encore si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Il se demande encore si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.
Dans son refrain, Keblack parle du fatalisme et du fait que tout suit une marche inéluctable que personne ne peut changer.
Il perd espoir, ne voit pas d'horizon a sa situation, sent qu'il tourne en rond vu l'espace défini du quartier jusqu’à penser qu'il perd la raison. (Une situation a la quelle sont confrontés les prisonniers qui vont au Trou)
A la fin du refrain, il se ressaisi et se demande si en connaissant tout ce qu'il a cité de "mauvais" dans son quartier, s'il doit baisser les bras ? s'il doit s'affaiblir.
Il répond a cette question non par la négative, mais par l'exclamation. C'est à dire qu'il est hors de question pour lui de s'affaiblir.