Et oui ! L'utilisation des téléphones à titre de réveil, n'est pas chose nouvelle, par contre même si dans les années précédentes, on les utilisait à cette fin mais aujourd'hui grâce aux dernières prouesses technologiques, nous possédons des Smartphones et ils peuvent (Presque) tout faire, et de ce fait dès qu'on éteint notre réveil, on se retrouve déjà à vérifier nos messages, e-mails, notifications...
Si ce n'était que cela, ça ne serait pas un réel problème, la vérité est que tout de suite après et même aux toilettes où dans la douche, il nous accompagne aussi, où nous sommes dans une suite d'informations sur le monde, nos proches où juste des vidéos drôles de chats sur YouTube.
Et oui ! L'utilisation des téléphones à titre de réveil, n'est pas chose nouvelle, par contre même si dans les années précédentes, on les utilisait à cette fin mais aujourd'hui grâce aux dernières prouesses technologiques, nous possédons des Smartphones et ils peuvent (Presque) tout faire, et de ce fait dès qu'on éteint notre réveil, on se retrouve déjà à vérifier nos messages, e-mails, notifications...
Si ce n'était que cela, ça ne serait pas un réel problème, la vérité est que tout de suite après et même aux toilettes où dans la douche, il nous accompagne aussi, où nous sommes dans une suite d'informations sur le monde, nos proches où juste des vidéos drôles de chats sur YouTube.
Et oui ! L'utilisation des téléphones à titre de réveil, n'est pas chose nouvelle, par contre même si dans les années précédentes, on les utilisait à cette fin mais aujourd'hui grâce aux dernières prouesses technologiques, nous possédons des Smartphones et ils peuvent (Presque) tout faire, et de ce fait dès qu'on éteint notre réveil, on se retrouve déjà à vérifier nos messages, e-mails, notifications...
Si ce n'était que cela, ça ne serait pas un réel problème, la vérité est que tout de suite après et même aux toilettes où dans la douche, il nous accompagne aussi, où nous sommes dans une suite d'informations sur le monde, nos proches où juste des vidéos drôles de chats sur YouTube.
Et oui ! L'utilisation des téléphones à titre de réveil, n'est pas chose nouvelle, par contre même si dans les années précédentes, on les utilisait à cette fin mais aujourd'hui grâce aux dernières prouesses technologiques, nous possédons des Smartphones et ils peuvent (Presque) tout faire, et de ce fait dès qu'on éteint notre réveil, on se retrouve déjà à vérifier nos messages, e-mails, notifications...
Si ce n'était que cela, ça ne serait pas un réel problème, la vérité est que tout de suite après et même aux toilettes où dans la douche, il nous accompagne aussi, où nous sommes dans une suite d'informations sur le monde, nos proches où juste des vidéos drôles de chats sur YouTube.
Le véritable soucis est notre addiction à ces petits joujoux qui font de nous des êtres de moins en moins concentrés, on se substitue à la réalité en utilisant ce refuge numérique, où bien évidemment on partage ce que l'on fait, ce que l'on aime mais on s'arrête pas réellement puisque, que ça soit à la maison, au travail, où à l'école, nous restons connectés et en attente de nouvelles publications à voir, parfois même dangereusement comme quand on conduit tout en vérifiant son téléphone :
Puis, même lorsque l'on rencontre sa famille où ses ami(e)s, on finit toujours chacun sur son téléphone, un peu comme si on avait rien à se dire et le silence finit par devenir gênant, au point où retrouver son téléphone afin de se connecter ressemble au meilleur échappatoire possible.
"C'est tellement amusant"
Le véritable soucis est notre addiction à ces petits joujoux qui font de nous des êtres de moins en moins concentrés, on se substitue à la réalité en utilisant ce refuge numérique, où bien évidemment on partage ce que l'on fait, ce que l'on aime mais on s'arrête pas réellement puisque, que ça soit à la maison, au travail, où à l'école, nous restons connectés et en attente de nouvelles publications à voir, parfois même dangereusement comme quand on conduit tout en vérifiant son téléphone :
Puis, même lorsque l'on rencontre sa famille où ses ami(e)s, on finit toujours chacun sur son téléphone, un peu comme si on avait rien à se dire et le silence finit par devenir gênant, au point où retrouver son téléphone afin de se connecter ressemble au meilleur échappatoire possible.
"C'est tellement amusant"
Le véritable soucis est notre addiction à ces petits joujoux qui font de nous des êtres de moins en moins concentrés, on se substitue à la réalité en utilisant ce refuge numérique, où bien évidemment on partage ce que l'on fait, ce que l'on aime mais on s'arrête pas réellement puisque, que ça soit à la maison, au travail, où à l'école, nous restons connectés et en attente de nouvelles publications à voir, parfois même dangereusement comme quand on conduit tout en vérifiant son téléphone :
Puis, même lorsque l'on rencontre sa famille où ses ami(e)s, on finit toujours chacun sur son téléphone, un peu comme si on avait rien à se dire et le silence finit par devenir gênant, au point où retrouver son téléphone afin de se connecter ressemble au meilleur échappatoire possible.
"C'est tellement amusant"
Le véritable soucis est notre addiction à ces petits joujoux qui font de nous des êtres de moins en moins concentrés, on se substitue à la réalité en utilisant ce refuge numérique, où bien évidemment on partage ce que l'on fait, ce que l'on aime mais on s'arrête pas réellement puisque, que ça soit à la maison, au travail, où à l'école, nous restons connectés et en attente de nouvelles publications à voir, parfois même dangereusement comme quand on conduit tout en vérifiant son téléphone :
Puis, même lorsque l'on rencontre sa famille où ses ami(e)s, on finit toujours chacun sur son téléphone, un peu comme si on avait rien à se dire et le silence finit par devenir gênant, au point où retrouver son téléphone afin de se connecter ressemble au meilleur échappatoire possible.
"C'est tellement amusant"
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
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Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
D'abord un outil pour communiquer via des appels ensuite par des textos et maintenant via Internet, le téléphone portable est devenu notre compagnon de tout les jours, de plus avec le nombre sans cesse augmentant des services qu'il nous propose, aujourd'hui on se retrouve allégé de plusieurs pensées, si l'on souhaite se rappeler de quelque chose, il nous suffit de le noter sur notre agenda et de définir quand es ce que nous souhaitons être rappelé de cet événement où encore combien de fois nous a t'il prévenu que c'était l'anniversaire de l'un de nos amis où une personne de la famille ce qui nous fait encore plus l'utiliser.
D'abord un outil pour communiquer via des appels ensuite par des textos et maintenant via Internet, le téléphone portable est devenu notre compagnon de tout les jours, de plus avec le nombre sans cesse augmentant des services qu'il nous propose, aujourd'hui on se retrouve allégé de plusieurs pensées, si l'on souhaite se rappeler de quelque chose, il nous suffit de le noter sur notre agenda et de définir quand es ce que nous souhaitons être rappelé de cet événement où encore combien de fois nous a t'il prévenu que c'était l'anniversaire de l'un de nos amis où une personne de la famille ce qui nous fait encore plus l'utiliser.
L'ironie dans tout cela est que l'outil ayant été crée d'abord pour faire en sorte que les gens soient en contact finit par devenir la raison pour laquelle les gens se voient de moins en moins et il est vrai qu'il nous suffit juste de les appeler où de leur envoyer un texto si l'on veut prendre de leurs nouvelles sans oublier qu'avec l'essor grandissant de l'utilisation d'Internet sur téléphone, on peut désormais faire cela gratuitement aussi !
Et le tour est joué.
Le plus intéressant étant que des chercheurs ont prouvés que le fait de recevoir une notification positive comme un like libéré de la dopamine dans notre cerveau, c'est littéralement ce que nous appelons du "plaisir", Cette molécule est également impliquée dans certains plaisirs abstraits comme écouter de la musique par exemple. C'est en raison pourquoi tout le monde se plaint un peu que les téléphones aient coupés certains contacts sociaux mais que de l'autre cela devient une idée de plus en plus acceptés car vraiment qui souhaite passer deux heures de route pour finir chez une personne avec qui nous ne sommes pas particulièrement proche alors qu'on pourrait juste prendre de ses nouvelles sans bouger de chez soi ?
"Cela peut vraiment pas être aussi dure de prendre son téléphone et d'appeler."
L'ironie dans tout cela est que l'outil ayant été crée d'abord pour faire en sorte que les gens soient en contact finit par devenir la raison pour laquelle les gens se voient de moins en moins et il est vrai qu'il nous suffit juste de les appeler où de leur envoyer un texto si l'on veut prendre de leurs nouvelles sans oublier qu'avec l'essor grandissant de l'utilisation d'Internet sur téléphone, on peut désormais faire cela gratuitement aussi !
Et le tour est joué.
Le plus intéressant étant que des chercheurs ont prouvés que le fait de recevoir une notification positive comme un like libéré de la dopamine dans notre cerveau, c'est littéralement ce que nous appelons du "plaisir", Cette molécule est également impliquée dans certains plaisirs abstraits comme écouter de la musique par exemple. C'est en raison pourquoi tout le monde se plaint un peu que les téléphones aient coupés certains contacts sociaux mais que de l'autre cela devient une idée de plus en plus acceptés car vraiment qui souhaite passer deux heures de route pour finir chez une personne avec qui nous ne sommes pas particulièrement proche alors qu'on pourrait juste prendre de ses nouvelles sans bouger de chez soi ?
"Cela peut vraiment pas être aussi dure de prendre son téléphone et d'appeler."
Il est vrai que l'initiative de pouvoir disposer de n'importe quel titre sur le net était une idée merveilleuse et dont nous avons tous profité et voyons l'attrait que nous avions à cet égard, de plus en plus d'artistes ont des comptes où ils publient régulièrement leurs nouveaux tubes et mêmes leurs concerts si ce n'est eux, ce sont des fans qui partagent pour leur plaisir et celui des autres admirateurs de l'artiste ce qui est vraiment quelque chose de fantastique même si, comme le dirait certains puristes, rien ne vaut un bon vieux live surtout que ça reste une sortie qui nous permet de socialiser et de passer du bon temps en dehors de notre bulle digitale. On remarque cette tendance même dans les cinémas ou même dans les concerts où les gens se déplacent mais finissent par passer plus de temps sur le téléphone que de profiter du spectacle. On vous conseille de prendre une photo/vidéo souvenir et de profiter du show :
Quant à la partie publicitaire, je pense que nous avons tous déjà remarqués que nos téléphones sont entrain de mieux nous connaître et nous comprendre que nos propres proches où parfois même, nous mêmes. C'est grâce aux recherches auquel nous procédons quotidiennement plus, ce qu'on "like" qui finit par être filtrer et ainsi nous proposer ce qui nous intéressera le plus et du coup même les publicités que l'on reçoit finissent souvent par nous intéresser étant donné que les recommandations suggérés sont issus de ce qui nous plait.
Il est vrai que l'initiative de pouvoir disposer de n'importe quel titre sur le net était une idée merveilleuse et dont nous avons tous profité et voyons l'attrait que nous avions à cet égard, de plus en plus d'artistes ont des comptes où ils publient régulièrement leurs nouveaux tubes et mêmes leurs concerts si ce n'est eux, ce sont des fans qui partagent pour leur plaisir et celui des autres admirateurs de l'artiste ce qui est vraiment quelque chose de fantastique même si, comme le dirait certains puristes, rien ne vaut un bon vieux live surtout que ça reste une sortie qui nous permet de socialiser et de passer du bon temps en dehors de notre bulle digitale. On remarque cette tendance même dans les cinémas ou même dans les concerts où les gens se déplacent mais finissent par passer plus de temps sur le téléphone que de profiter du spectacle. On vous conseille de prendre une photo/vidéo souvenir et de profiter du show :
Quant à la partie publicitaire, je pense que nous avons tous déjà remarqués que nos téléphones sont entrain de mieux nous connaître et nous comprendre que nos propres proches où parfois même, nous mêmes. C'est grâce aux recherches auquel nous procédons quotidiennement plus, ce qu'on "like" qui finit par être filtrer et ainsi nous proposer ce qui nous intéressera le plus et du coup même les publicités que l'on reçoit finissent souvent par nous intéresser étant donné que les recommandations suggérés sont issus de ce qui nous plait.
Parmi les mauvais aspects des services que propose l'auto correcteur, est que nous pouvons nous permettre d'écrire n'importe comment et de toujours pouvoir compter sur lui pour corriger, étant une fonction automatique, nous ne prenons souvent pas le temps d'écrire correctement et de ce fait nous participons petit à petit à la mort de la langue française jusqu’à son entière disparition qui laissera place à une nouvelle langue digitale sans queue ni tête.
A une autre époque, où Internet et le téléphone portable n'existaient pas, on trouvait beaucoup plus d'enfants à jouer dans les rues et les parcs, il est vrai que cela est toujours d'actualité mais tout de même en baisse car de nos jours les enfants préfèrent jouer à leurs jeux vidéos plutôt que de sortir dehors, ceci étant dit, n'oublions quand même pas que le contact social n'en est pas vraiment réduit vu qu'ils sont en général en ligne avec d'autres enfants mais rappelons quand même qu'un peu d'exercice physique est toujours bon pour la santé !
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
De nos jours, on passe une majeure partie de nos journées connectés à notre écran mais le problème est que nous y laissons tellement de temps qu'on en finit sans vivre nous mêmes, perdus dans nos partages et ceux des autres à longueur de journée au point de perdre nos priorités et de ne chercher qu'un simple moyen de passer le temps...
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie, utilisés d'abord pour téléphoner et envoyer des SMS, il est à présent plus un outil pour se connecter à Internet, afin d'utiliser les réseaux sociaux mais aussi pour faire des achats en ligne où encore utiliser le GPS faisant de lui un appareil polyvalent qui ne cesse de nous étonner de par sa facilité d'utilisation mais aussi ses options comme la qualité d'appareil photo et la puissance de son processeur.
Le nombre d’utilisateurs de smartphone devrait passer de 1,5 milliard en 2014 à près de 2,5 milliards en 2019, avec des taux de pénétration des smartphones qui augmente également. Un peu plus de 36 % de la population mondiale devrait utiliser un smartphone d’ici 2018, alors que ce chiffre était d’environ 10 % en 2011 créant ainsi des situations d'addiction qui touchent chaque année davantage de personnes et qui sont de plus en plus handicapantes. En 2012, une étude britannique précisait que 66% des utilisateurs de smartphones risquaient de souffrir s'ils devaient se passer de leur smartphone.
"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.
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"Quand tu perds ton téléphone"
Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
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Le téléphone a supprimé les distances et atténué les barrières géographiques. Récemment, en devenant « mobile », ce vecteur a changé de nature et d'usage. Le smartphone supprime en effet également certaines barrières temporelles, notamment grâce à sa capacité de mémorisation d'agendas et d'agenda électroniques, éventuellement partagé et interopérable. Et grâce aux traducteurs automatiques, il peut déjà atténuer certaines barrières linguistiques. Il a ainsi pu susciter des comportements communicationnels totalement inédits, y compris dans les pays dits pauvres où le smartphone joue un rôle croissant dans les échanges interpersonnels, mais aussi économiques. C'est un lien qui rassure et fait se sentir plus puissant et efficace.
Le smartphone est en outre de plus en plus omniprésent ; il devient difficile de s’en passer (même si l'on ne s'en servait que pour téléphoner ; en raison de la disparition progressive du service public qu’offraient les cabines téléphoniques). Par rapport à un ordinateur, son coût d'achat est faible. Le smartphone semble moins intrusif que les anciens téléphones (grâce au remplacement de la sonnerie par le vibreur), mais il attire ou détourne néanmoins ainsi l'attention de son propriétaire qui souvent n'attend plus le signe d'une communication pour le consulter et c'est ainsi que subtilement nous voilà tous dépendants.