Paroles de La terre, je la dévore

Georgio
Combien, ont pris les paradis artificiels pour tremplin ?
Je cherche à combler le vide ou à évacuer le trop plein
Je ne fais que culpabiliser en regardant ce temps de chien
Je rêve d'être sourd, plus entendre aboyer mes frangins
Chaque jour, la même rengaine, j'en veux à la terre entière
J'ai ce manque d'oxygène, qui me fait angoisser
On devient des solitaires drogués, aux somnifères
Je reste un sortilège, un esprit indompté
Avant d'essayer de combattre les autres, bats toi !
Contre toi et toi seulement : bats toi !
Contre vents et marrés c'est plus possible,
Personne peut nous empêcher de sortir de notre chrysalide
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Faut être plus fort que les murs qui se construisent autour de nous
Près des fous, perverti par l'idée de faire des sous
Je les vois douter de janvier à août sous écrou tout s'écroule
La seule prison dont on ne s'échappe pas est cérébrale
Il nous reste l'imagination pour devenir télépathe
Je transforme ma chambre en avion long courrier
Je suis fatigué, mais j'ai la chance de partir en tournée !
Les oiseaux brûlent dans mes plaines de goudron
Les frères fument des joints de pure, à en perdre leurs poumons
On franchit les dunes du pila, nous soufflons
Car sur le sable froid, des regrets, un jour nous mourrons !
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s’étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis, où je vide ma haine
J'essaie de croire en la vie, mais j'y arrive à peine
Son meilleur ami, c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s’étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis, où je vide ma haine
J'essaie de croire en la vie, mais j'y arrive à peine
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Je compte bouffer le monde avant que le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu de la ronde j'étouffe
Traverser les mers avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Coûte que coûte, dévorer la terre
Coûte que coûte, dévorer la terre
On m'avait dit qu'il fallait marcher au pas
J'ai décidé de suivre mon chemin de croix
De toute façon, on voit très peu d'étoiles sur nos faubourgs
Les yeux fermés, on s'habitue au temps qui court
Interprète
Georgio
Adaptateur
Emilie Sattonnet
Compositeurs
Remi Tobbal , Guillaume Silvestri , Jean Karl Lucas , Emilie Sattonnet
Auteur
Georges Edouard Nicolo
Éditeurs
Emi Music Publishing France , Universal Music Publishing , Low Wood , Blood Sweat And Tears , Sony Atv Music Publishing Allegro France , Paris Sud
Paroles certifiées par nos expertsParoles certifiées par nos experts

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