Pour ceux qui ne le savent pas, Orelsan vient de Caen, petite ville au Nord-Ouest de la France, en Normandie.
Qui dit la danse de la chenille, dit les soirées dansantes et fêtes de villages. Très populaire, elle vient de "La chenille" chanson festive assez répondue dans tout l'hexagone pendant les années 80, cette danse populaire perdurera ensuite de génération en génération.
ça doit être pour ça que la France, et particulièrement sa petite ville, lui fait rappeler cette danse à Orelsan.
On vous a menti ! la danse de la chenille c'est ça !
" Crash tests dummies ", en français désigne les dispositifs anthropomorphe d'essai aka mannequins d'essaies de choc, comme leur nom l'indique, ce sont des clones de corps humains équipés de dispositifs enregistrant les chocs subis lors d'un impact, ce qui fait qu'ils sont indispensable lors de conception automobiles simulant des accidents routiers pour une meilleure approche sur la sécurité.
" Prendre des caisses ", dans le langage familier, caisse désigne une voiture, ici, il a un double sens caché, faisant référence aux cash tests dummies, par ce terme il décrit la violence des coups reçu, une métaphore qui représenterai la dureté de la vie en France.
Orelsan nous explique qu'il a un large spectre d'amis
D'une part ceux qui qui sont diplômés, il semblerait qu'il parle de ses amis de fac, car oui Orelsan - Aurélien Cotentin, de son vrai nom - avant de se consacrer entièrement à la musique et connaitre la scène, a eu un parcours scolaire classique, né d’une mère institutrice et d’un père directeur de collège, les études ont fait partis de sa vie, après un bac scientifique, il s'inscrit à l"Ecole de Management à Caen/de Normandie, où il a rencontré Gringe son futur acolyte dans le duo qui sera : les Casseurs Flowters (réplique dans le film Maman j'ai raté l'avion, ndlr) et son producteur musical Skread, dont il sort diplômé, il s'en vole ensuite pour les USA, et intègre l'Université de Floride du Sud pour une année.
De retour en France, il s'essaye à plusieurs petits boulots (à écouter dans ses chansons), notamment celui de gardien de nuit dans un hôtel où il en profitera pour écrire une partie de ses textes.
Renonçant à une carrière typique de ses parents, où eux ont réussis à s'intégrer dans la vie social, lui choisit de se consacrer à la musique, de ce fait, il côtoiera de nombreuse personnes d'une toute autre catégorie d'où d'autre qui n'ont pas lu deux livres
Orelsan nous explique qu'il a un large spectre d'amis
D'une part ceux qui qui sont diplômés, il semblerait qu'il parle de ses amis de fac, car oui Orelsan - Aurélien Cotentin, de son vrai nom - avant de se consacrer entièrement à la musique et connaitre la scène, a eu un parcours scolaire classique, né d’une mère institutrice et d’un père directeur de collège, les études ont fait partis de sa vie, après un bac scientifique, il s'inscrit à l"Ecole de Management à Caen/de Normandie, où il a rencontré Gringe son futur acolyte dans le duo qui sera : les Casseurs Flowters (réplique dans le film Maman j'ai raté l'avion, ndlr) et son producteur musical Skread, dont il sort diplômé, il s'en vole ensuite pour les USA, et intègre l'Université de Floride du Sud pour une année.
De retour en France, il s'essaye à plusieurs petits boulots (à écouter dans ses chansons), notamment celui de gardien de nuit dans un hôtel où il en profitera pour écrire une partie de ses textes.
Renonçant à une carrière typique de ses parents, où eux ont réussis à s'intégrer dans la vie social, lui choisit de se consacrer à la musique, de ce fait, il côtoiera de nombreuse personnes d'une toute autre catégorie d'où d'autre qui n'ont pas lu deux livres
Le père d' Orelsan a été directeur de collège. La famille déménage à Caen lorsque son père est muté, il a alors 16 ans.
Il lui dédie une chanson, dans son film en duo avec Gringe "Comment c'est loin ” où il met en scène un passage à tabac de son père (qui est en fait un acteur dans le clip), il retranscrirait par ce titre ses rapports conflictuels qu'il entretient avec lui.
Il semblerait que son père ne soit pas content du chemin que son fils ait pris, d'ailleurs il dira dans son morceau " Quand ton père t'engueule " :
" Là, il m'demande pourquoi j'suis pas normal
Dit qu'j'ai fait des études, j'suis pas censé descendre l'échelle sociale.
[...]
" Son plan était parfait, mon destin tracé depuis l'enfance
Il a juste oublié de m'demander c'que j'en pense. "
Si son père semble content de sa réussite professionnel, ça n'aurait pas été le cas d'Aurélien d'ailleurs il fait l'amalgame entre " gravir l'échelle " et "descendre l’échelle " dans son autre titre
La ménagère est celle qui s'occupe de son foyer et des taches ménagères qui en résulte ainsi qu'aux dépenses.
Elle est de ce fait plus sujette à être arnaquer par les nombreuses publicités qui défilent à longueur de journée à la TV.
Ainsi, malgré que sa mère soit institutrice, il ne manque pas de la comparer aux ménagères femme aux foyers qui n'ont pour compagnie que la TV, car de son point de vu, elle reste toujours susceptible d'être attirer par toutes ces publicités mensongère qui n'ont pour but que de les déplumer en leur vendant du rêve.
D'ailleurs il en parle dans son titre " Suicide social " où il énonce quelques vérités écrasantes sur la société de pure consommation dans laquelle on vie :
" Adieu la ménagère devant son écran
Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents
Qui pose pas d'questions tant qu'elle consomme. "
Dans un thème pluvial, Orelsan assez nostalgique sur les bords se rappelle de ses moments à la compagne, il fait référence à Caen, sa météorologie assez pluvieuse, la boue, les fermes, les gros sabots pourraient faire référence aux grosses bottes
Mais au delà de sa fâcheuse tendance à se rappeler du mauvais temps et des averses , Orelsan joue sur les mots, désignant par là les campagnards et leur manque de finesse et de tact dans leurs approche comme dans leur discussions où le civisme n'est pas ce qui leur plait le plus.
Etant donné que son titre s'appelle " La pluie " on l'imagine se remémorer la saison hivernale.
Effectivement les oiseaux ne volent pas haut quand il pleut, il compare ça aux ragots faisant allusion que c'est monnaie courante, serait-ce une spécialité campagnarde que de faire des commérages sur la vie des autres ? Il semblerait que c'est le cas aux yeux d'Orelsan
En temps de nuit et d'ennuie, les gens trouvent le temps longs et se retrouvent à se préoccuper en surveillant les gens et parler dans leur dos.
Orelsan transpose la fiction à la réalité, passionné de mangas c'est sans étonnement qu'on constate que dans " la terre du milieu " ( Middle-earth, en anglais ) il fait référence à la fiction de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien un univers imaginaire de notre Terre, de l'Europe plus précisément, à la fin du 3ème âge, soit environ 6 000 ans avant notre ère où se déroule ses romans comme Le Hobbit et Le seigneur des anneaux, très connu du grand public.
Cette expression désigne ici la France profonde, des campagnes, dont Orelsan est originaire. Le terme de Terre du Milieu permet ici de contraster entre l'univers fantastique palpitant du célèbre auteur anglais et celui monotone mais bien réel du rappeur.
Orelsan décrit la situation actuelle de sa ville de Caen, la Normandie n'échappe pas à la crise du chômage où la demande d'emplois dépasse largement la quota d'offre dans cette commune
La tisane, pourrait renvoyer à la " tise ", nom argotique donné à l'alcool. ça pourrait être une conséquence du chômage, les chomeurs qui desesperent à ne pas trouver du travail finissent pas se réconforter au près d'un verre ou deux à en devenir une sale habitude qui fera d'eux des alcooliques à la longue et là c'est sure qu'il seront inapte à travailler d'où le cercle vicieux dont Orelsan nous parle
Je déteste être à cours de tise, passe-moi la bouteille. Etoiles invisibles - Orelsan
Par ailleurs la tisane est "LA" boisson préférée des personnes âgées, voudrait-il nous faire comprendre qu'en plus du chômage qui frappe sa commune, sa ville est à majorité vieillissante ?
Orelsan nous immerge encore une fois dans son monde, où il continue à parler de façon critique sur sa compagne et les gens qui y vivent.
Après le manque de tact avec les " gros sabots " Cette fois il s'attaque à leur hypocrisie, de son point de vu, ils sont ceux qui ne disent pas la vérité en face des gens, mais qui ne manquent pas de parler dans leur dos, une fois partis.
la lenteur pourrait faire allusion à la lourdeur des gens en province, une idée reçu qu' Orelsan vient reprendre ici,
cette constatation typique cliché que fait Orelsan prouve qu'en allant s'installer dans la capitale il remarquera que dans les grandes agglomérations, les gens soumis à la pression quotidienne sont toujours aux aguets et au tac au tac dans la réflexion comme si leur sens sont plus en éveil comparativement à la compagne où la tranquillité règne
Il rebondit sur sa réflexion et finit par prendre en compte que chez lui, les gens pèsent leur mots avant de parler, leur lenteur à la réflexion expliquerait pourquoi ils réagissent une fois les faits passés.
Cette phrase résonne comme une prise de conscience de la vie qu'il a pu mener et les gens qu'il a pu connaitre à Caen
Orelsan aurait-il pris la mauvaise habitude de parler sans réfléchir depuis qu'il s'est installer à Paris ?
Orelsan nous immerge encore une fois dans son monde, où il continue à parler de façon critique sur sa compagne et les gens qui y vivent.
Après le manque de tact avec les " gros sabots " Cette fois il s'attaque à leur hypocrisie, de son point de vu, ils sont ceux qui ne disent pas la vérité en face des gens, mais qui ne manquent pas de parler dans leur dos, une fois partis.
la lenteur pourrait faire allusion à la lourdeur des gens en province, une idée reçu qu' Orelsan vient reprendre ici,
cette constatation typique cliché que fait Orelsan prouve qu'en allant s'installer dans la capitale il remarquera que dans les grandes agglomérations, les gens soumis à la pression quotidienne sont toujours aux aguets et au tac au tac dans la réflexion comme si leur sens sont plus en éveil comparativement à la compagne où la tranquillité règne
Il rebondit sur sa réflexion et finit par prendre en compte que chez lui, les gens pèsent leur mots avant de parler, leur lenteur à la réflexion expliquerait pourquoi ils réagissent une fois les faits passés.
Cette phrase résonne comme une prise de conscience de la vie qu'il a pu mener et les gens qu'il a pu connaitre à Caen
Orelsan aurait-il pris la mauvaise habitude de parler sans réfléchir depuis qu'il s'est installer à Paris ?
Orelsan désigne son appartenance à la classe moyenne où sa famille jouit d'un niveau de vie élevé, largement au dessus des classes ouvrières, toujours dans son analyse critique il annonce que cette soi-disant haute catégorie sociale n'a rien d'élégant de part ses comportement loin d'être salués.
" J'viens de la classe moyenne, moyennement classe " est une figure de style appelé régression où Orelsan joue sur deux mots les reprenant dans un ordre inverse dans une même phrase.
Cette façon de décrire son sentiment envers cette appartenance sociale, nous renvoi à son premier couplet où il dénigrait déjà les campagnards et leur manque de savoir vivre, il fait de même avec la middle class... Orelsan n'y va pas trop fort sur les clichés ?
Et comme si que cela ne suffisait pas, il prend l'exemple de Julien Clerc, lui aussi chanteur venu d'un rang aisé, et le monospace, voiture typique des familles à nombre élevés d'enfants, où tout le monde cherche une place, Julien Clerc dans le monospace
Orelsan désigne son appartenance à la classe moyenne où sa famille jouit d'un niveau de vie élevé, largement au dessus des classes ouvrières, toujours dans son analyse critique il annonce que cette soi-disant haute catégorie sociale n'a rien d'élégant de part ses comportement loin d'être salués.
" J'viens de la classe moyenne, moyennement classe " est une figure de style appelé régression où Orelsan joue sur deux mots les reprenant dans un ordre inverse dans une même phrase.
Cette façon de décrire son sentiment envers cette appartenance sociale, nous renvoi à son premier couplet où il dénigrait déjà les campagnards et leur manque de savoir vivre, il fait de même avec la middle class... Orelsan n'y va pas trop fort sur les clichés ?
Et comme si que cela ne suffisait pas, il prend l'exemple de Julien Clerc, lui aussi chanteur venu d'un rang aisé, et le monospace, voiture typique des familles à nombre élevés d'enfants, où tout le monde cherche une place, Julien Clerc dans le monospace
D'un ton nostalgique, il décrit ses moments passés où il chantonnait et se remémore de ce fait ses balades en voiture les jours d'averses, la pluie, étant quelque chose qu'il ne supporte pas en temps normal, devient quelque chose de plaisant à ce moment là.
La pluie étant très présente dans le quotidien d'Orelsan, elle s'initierait même dans sa musique où elle l'accompagnerait dans ses feestyles en fond sonore, la comparant à un rappeur avec qui il mène la danse.
D'un ton nostalgique, il décrit ses moments passés où il chantonnait et se remémore de ce fait ses balades en voiture les jours d'averses, la pluie, étant quelque chose qu'il ne supporte pas en temps normal, devient quelque chose de plaisant à ce moment là.
La pluie étant très présente dans le quotidien d'Orelsan, elle s'initierait même dans sa musique où elle l'accompagnerait dans ses feestyles en fond sonore, la comparant à un rappeur avec qui il mène la danse.
Caen, la ville où a vécu Orelsan est une commune nord-ouest de la Normandie, elle même située au Nord de la France, un territoire qui connait de nombreuses précipitions dans l'année et beaucoup moins de journées ensoleillées, et on sent bien la frustration d'Orelsan de ne pouvoir rien y changer
Selon Wikipédia, Caen bénéficie d’un climat océanique avec des étés frais et des hivers doux. Contrairement aux idées reçues, il pleut moins à Caen qu’à Montélimar ou à Nice, mais les jours de précipitations y sont plus nombreux. Les mois d'hiver sont les plus arrosés.
Caen, la ville où a vécu Orelsan est une commune nord-ouest de la Normandie, elle même située au Nord de la France, un territoire qui connait de nombreuses précipitions dans l'année et beaucoup moins de journées ensoleillées, et on sent bien la frustration d'Orelsan de ne pouvoir rien y changer
Selon Wikipédia, Caen bénéficie d’un climat océanique avec des étés frais et des hivers doux. Contrairement aux idées reçues, il pleut moins à Caen qu’à Montélimar ou à Nice, mais les jours de précipitations y sont plus nombreux. Les mois d'hiver sont les plus arrosés.
Orelsan se retrouvait cloîtrer dans sa chambre en vue de la météo loin d'être clémente en sa faveur, se retrouvant à prier pour que l'averse s'arrête et enfin pouvoir sortir de chez lui.
Son enfermement volontaire dans sa chambre pourrait correspondre à un isolement de sa famille.
Il en parle aussi dans un autre morceau “ Étoiles invisibles ” où Il dit, en refrain, rester des heures à rien faire pendant les jours de pluies, enfermé dans sa chambre à attendre que le temps passe.
" J'passe des nuits, nuits, nuits,
A rien faire, j'regarde le temps défiler,
Pendant qu'la pluie, pluie pluie pluie,
Frappe à la fenêtre,
J'attends qu'le jour se lève,
Seul, seul, seul, seul,
Face à moi même, face à moi-même,
Seul, seul, seul, seul,
Face à moi-même,
J'attends qu'le jour se lève."
“ Faire de la rampe ” se dit dans les pratiques de sport de glisse comme le skateboard, d'ailleurs Orelsan prenait des cours au skate-park plus jeune, et son acolyte gringe était vendeur dans un skate shop. On les voit poser sur une rampe dit en " U " dans leur clip du morceau 6h16-Des histoires à raconter.
Orelsan se retrouvait cloîtrer dans sa chambre en vue de la météo loin d'être clémente en sa faveur, se retrouvant à prier pour que l'averse s'arrête et enfin pouvoir sortir de chez lui.
Son enfermement volontaire dans sa chambre pourrait correspondre à un isolement de sa famille.
Il en parle aussi dans un autre morceau “ Étoiles invisibles ” où Il dit, en refrain, rester des heures à rien faire pendant les jours de pluies, enfermé dans sa chambre à attendre que le temps passe.
" J'passe des nuits, nuits, nuits,
A rien faire, j'regarde le temps défiler,
Pendant qu'la pluie, pluie pluie pluie,
Frappe à la fenêtre,
J'attends qu'le jour se lève,
Seul, seul, seul, seul,
Face à moi même, face à moi-même,
Seul, seul, seul, seul,
Face à moi-même,
J'attends qu'le jour se lève."
“ Faire de la rampe ” se dit dans les pratiques de sport de glisse comme le skateboard, d'ailleurs Orelsan prenait des cours au skate-park plus jeune, et son acolyte gringe était vendeur dans un skate shop. On les voit poser sur une rampe dit en " U " dans leur clip du morceau 6h16-Des histoires à raconter.
On remarquera que la pluie est très présente dans la ville d' Orelsan, faire un titre sur la pluie c'est parler de sa ville.
Ce n'est pas la première fois que l'on entend Orelsan se plaindre de la pluie
Et il pleut tout l'temps dans cette ville de merde.
Il a l'air très marqué par cette météo désastreuse qui le dérange jusqu'à en exprimer son mal être.
Ah l'odeur du béton mouillé après la venue d'un orage, une odeur caractéristique que la terre prend lors de son contact avec la pluie en période sèche comme l'été, on lui donne le nom de "petrichor", ceci exprime la permanence des précipitations dans sa ville même pendant l'été !
L'une des raisons qui a poussé Orelsan à quitter sa ville natale, et personne ne peut le contester, est la météo désastreuse, et l'ennuie qu'elle a pu engendrer dans sa vie.
D'ailleurs il dit, avoir eu peur de rouiller, une expression qu'on utilise souvent quand on se sent s'engourdir dans une routine continuelle.
Culture :
La rouille, en chimie, est une réaction chimique d'oxydation qui aboutit à la formation d'une coloration brun-rouge sur un composé en fer qui rentre en contact avec de l'oxygène compris dans l'air et de l'eau de la pluie.
L'une des façons d'éviter qu'un métal ne rouille, c'est de le maintenir au sec. Suivant ce conseil, Orelsan est parti d'un milieu très humide à cause de la pluie : la basse-normandie.
On remarquera que la pluie est très présente dans la ville d' Orelsan, faire un titre sur la pluie c'est parler de sa ville.
Ce n'est pas la première fois que l'on entend Orelsan se plaindre de la pluie
Et il pleut tout l'temps dans cette ville de merde.
Il a l'air très marqué par cette météo désastreuse qui le dérange jusqu'à en exprimer son mal être.
Ah l'odeur du béton mouillé après la venue d'un orage, une odeur caractéristique que la terre prend lors de son contact avec la pluie en période sèche comme l'été, on lui donne le nom de "petrichor", ceci exprime la permanence des précipitations dans sa ville même pendant l'été !
L'une des raisons qui a poussé Orelsan à quitter sa ville natale, et personne ne peut le contester, est la météo désastreuse, et l'ennuie qu'elle a pu engendrer dans sa vie.
D'ailleurs il dit, avoir eu peur de rouiller, une expression qu'on utilise souvent quand on se sent s'engourdir dans une routine continuelle.
Culture :
La rouille, en chimie, est une réaction chimique d'oxydation qui aboutit à la formation d'une coloration brun-rouge sur un composé en fer qui rentre en contact avec de l'oxygène compris dans l'air et de l'eau de la pluie.
L'une des façons d'éviter qu'un métal ne rouille, c'est de le maintenir au sec. Suivant ce conseil, Orelsan est parti d'un milieu très humide à cause de la pluie : la basse-normandie.
Orelsan, finit sur une note plutôt positive puisque il se rend compte qu'après avoir tant critiqué sa ville natale, une fois partis, il ne se serait jamais douté qu'un jour cette ville morose lui manquerait. Avec un petit jeu de mot entre "trempé" et "trompé", puisque le mauvais temps lui fait rappeler instinctivement Caen.
Souvent sans se rendre compte, on s'attache à des souvenirs qui semblaient être des moments difficiles, ici Orelsan semble éprouver de la nostalgie envers cette ville par les nombreux souvenirs qu'il a pu avoir grâce à elle et qui pourtant tout poussait à la haïr
Orelsan, finit sur une note plutôt positive puisque il se rend compte qu'après avoir tant critiqué sa ville natale, une fois partis, il ne se serait jamais douté qu'un jour cette ville morose lui manquerait. Avec un petit jeu de mot entre "trempé" et "trompé", puisque le mauvais temps lui fait rappeler instinctivement Caen.
Souvent sans se rendre compte, on s'attache à des souvenirs qui semblaient être des moments difficiles, ici Orelsan semble éprouver de la nostalgie envers cette ville par les nombreux souvenirs qu'il a pu avoir grâce à elle et qui pourtant tout poussait à la haïr