Cette phrase n’est pas propre aux artistes et signale la fin d’un discours. Pourtant VALD l’a à peine commencé.
Cette position de retrait est souvent reprise par les rappeurs de tous les bords, de Booba (Balti) à Orelsan (Inachevés) car elle marque une indifférence qui les place au-dessus de la mêlée, de la société. Ici au contraire VALD le formule en aveu de faiblesse puisqu’effectivement il abandonne avant d’avoir laissé son empreinte sur l’instrumentale.
Enfin cette phrase peut être considérée au 2nd degré : elle indique ce que VALD a à apporter comme création artistique, Weedim étant déjà reconnu, et VALD ayant une estime suffisante de lui, le « c’est tout » qui voudrait dire « peu » est en réalité ironique. VALD est fier de nous présenter ces noms et nous promet de ce cocktail un morceau détonnant. Ce qui va être le cas, attention aux oreilles !
Cette dualité abandon dépressif/orgueil est une composante du morceau comme nous allons le voir à maintes reprises.
VALD aime cette image qu’il a déjà proposé quand il disait dans Eurotrap « La vie c’est dur c’est pas une demi-molle ».
Le kamagra est un médicament générique du viagra dont les principales différences sont que ses effets sont que ses effets secondaires sont plus courants (vision perturbée, maux de tête, vision « bleuie »), qu’ils n’y a pas de petite dose et que l’érection peut durer plus longtemps que pour la même dose de viagra.
VALD affirme ainsi que ses expériences de vie lui ont appris à être « dur ». Mais la polysémie du mot dur reste à interpréter. Le Kamagra nous mets sur la piste du désir, de l’excitation. Pourtant, le ton de la voix de VALD associé à l’instrumentale, l’image en noir et blanc, la cigarette allumée à ce moment, tout porte à croire à la 2ième piste d’interprétation : que sa vie a durci son cœur comme le Kamagra le sexe masculin.
VALD a choisi Kamagra plutôt que Viagra alors que la rime est la même. Pas le même nombre de syllabes, mais le « de » est tronqué ce qui fait que « viagra » était bien un choix tout à fait envisageable. Le fait que VALD soit allé chercher le triple A de Kamagra-pour mieux coller à « calamar »- montre qu’il connait un peu le rayon, paradoxalement.
Quel futur ! Ses beignets de calamar, ce plat gras et pas cher qu’on retrouve dans les cantines d’enfant au collège ! Dans la continuité avec sa dernière phrase, la vie l’a durci en même temps qu’elle a réduit l’horizon des possibles et ne lui fait espérer que les plaisirs simples de la vie.
On retrouve ce schéma de pensée schizophrène chez d’autres rappeurs comme PNL (Mowgli) « Dans l’frigo c’est sec, hein, marlich l’dessert au ptit frère » (que l’on retrouve dans le QLF où le frigo est plein), alors qu’ils décrivent une vie de barons de la drogue locaux (dans la trilogie Naha, Onizuka et Bene)
Mais le mot « rings » ajouté en voix off derrière met le voile sur une autre vérité plus proche de la réalité des rappeurs enrichis par la célébrité. Ce qui signifie anneau en anglais prend le sens de bague. Les beignets de calamar, jaunes et ronds comme une bague, mais élargis et épais témoignent de l’ambition sans limite et matérialiste de VALD. Une phase, deux sens diamétralement opposés.
Avant d’être l’homme « dur » qu’il est aujourd’hui il a dû se construire. Mais au cours de son parcours, il a été blessé. Ses plaies ont été assez larges pour qu’il faille les suturer (les recoudre). VALD fait figure de balafré comme il aime souvent le faire (Infanticide et Ecailles sont explicites dans ce sens). Le rappeur convoque le thème si cher des reptiliens, qui est parmi ses théories du complot favorites. Il sous-entend qu’il est reptilien, et comme il faut rentrer dans son jeu pour le comprendre, on peut chercher à comprendre s’il joue vraiment au reptilien ou si c’est du 3ième degré. Dans une interview, VALD dit qu’il ne croit pas être reptilien. Et effectivement, s’il l’était c’aurait été inné, et il n’aurait pas pu être blessé.
Il y a donc derrière l’apparente banalité des phrases de VALD bien plus que la première approche permet de voir.
Mais quid de la carapace ? Cette carapace c’est la métaphore de sa célébrité. Le morceau s’appelle Kid Cudi en hommage au rappeur américain torturé qui n’a rien laissé paraître avant le 5 octobre 2016 où il a annoncé être en état de dépression et annulé la promotion de son dernier album. La carapace de VALD n’existe pas. C’est simplement la fausse image que les gens se font de lui à travers ses clips. En réalité, VALD est un être KC par la vie, même s’il ne le montre pas comme Kid Cudi.
L’expression suce-pute est intrigante. En fait, en ses « camarades » Alkpote et Biffty publient un clip (Donne du fric) volontairement mal tourné et apparemment peu créatif répétant de nombreuses variantes de « suce, pute [salope], envoie nous du fric, pour la ténébreuse musique ». Dès décembre de la même année, VALD fait sienne l’expression « suce-pute » pour décrire les personnes crédules qui obéissent bêtement aux ordres de la star et qui n’hésitent pas à lui donner de l’argent sans service en retour. VALD sait qu’il fait partie de ceux qu’on admire et ses amis, à défaut d’être connus comme lui, ne l’admirent pas dans une position d’infériorité. Cette phrase garantit finalement la qualité et la sincérité de ses amitiés, qu’il traite sur un pied d’égalité.
VALD a lui même abandonné plusieurs fois les cours et reste blessé par ses échecs répétés, bien qu’il soit sorti par la grande porte. En effet, après avoir abandonné médecine il s’arrête au niveau licence en faculté de mathématiques-informatique pour s’orienter –encore- vers une école d’ingénieur son, dont il niera totalement l’utilité dans ses interviews (peut-être pour se justifier d’avoir abandonné). A chaque fois qu’il est amené à parler de son parcours, VALD répète qu’il était doué à l’école, mais feignant, et donc que ses notes ont chuté. VALD confesse ici son regret de ne pas être allé jusqu’au bout de ses différents projets, regrets qui le motiveront pour s’investir à fond quant au rap, et alimenteront son amitié avec Georgio qui a longtemps eu cette angoisse de ne pas réussir.
L’arme c’est le savoir et VALD a tiré ; VALD s’exprime ici à la 2ième personne alors qu’il parle de lui (c’est lui qui a arrêté les cours) dans l’idée d’un tribunal, où il serait à la fois le juge et l’accusé. En réalité, il initie une métaphore qu’il va filer sur 4 vers et il va progressivement révéler quelles sortes de crimes il a commis.
Si le sens premier n’est pas difficile à interpréter, VALD témoigne par ces phrases d’un sentiment de défoulement sexuel qui ne se calme pas. Son envie insatiable est comparée à une confrontation entre les manifestants et les policiers où les uns rentrent dans les autres avec violence et la peur de se prendre des coups. Par cette image, VALD compare sa relation sexuelle à une imitation de viol de façon très trash.
Quand il s’agit de décrire une scène sexuelle en chantant doucement VALD ne fait pas dans la dentelle. Déjà Selfie , triple clip réalisé avec un « couple » d’acteurs pornographiques était la description d’une scène intense et violente avec des phrases telles que « Quand on baise faut des bassines », et retranscrites visuellement/en image par Nikita Bellucci et Ian Scott. clip ( - 18 XD ) que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Si le sens premier n’est pas difficile à interpréter, VALD témoigne par ces phrases d’un sentiment de défoulement sexuel qui ne se calme pas. Son envie insatiable est comparée à une confrontation entre les manifestants et les policiers où les uns rentrent dans les autres avec violence et la peur de se prendre des coups. Par cette image, VALD compare sa relation sexuelle à une imitation de viol de façon très trash.
Quand il s’agit de décrire une scène sexuelle en chantant doucement VALD ne fait pas dans la dentelle. Déjà Selfie , triple clip réalisé avec un « couple » d’acteurs pornographiques était la description d’une scène intense et violente avec des phrases telles que « Quand on baise faut des bassines », et retranscrites visuellement/en image par Nikita Bellucci et Ian Scott. clip ( - 18 XD ) que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
« Broliqué » est un mot de l’argot démocratisé par le rap de Booba, Rohff ..etc. qui signifie armé d’un pistolet. VALD rappelle que le savoir est une arme et qu’il est très « armé ». Le « crime « commis par VALD s’explique : il a fait usage de son savoir, en quittant l’école, et/ou en disant des vérités. Autrement dit, il a usé de ses talents de rappeur pour faire démarrer sa carrière plutôt que de finir son parcours d’ingénieur du son. Il colle donc ici à l’image de « bad boy » venu tuer le rap game ? Mais il montre aussi une certaine culpabilité à rentre dans ce monde pour des raisons inconnues, qui pourraient être de faire honte à ses parents par sa vulgarité, d’avoir abandonné des éléments sacrés d’une vie banale comme la pudeur, ..etc.
Mais maintenant il est riche et il estime ne pas en profiter.
VALD suggère que le shit éteint sa créativité puisqu’il a moins d’idées. Ce qui est assez négatif.
Mais en même temps le shit l’apaise puisque VALD ne précise pas la nature de ses idées pour qu’il ressente le besoin de les oublier. Kid Cudi ayant des idées suicidaires, VALD sous-entend qu’il en a peut-être, ce qu’il nie en interview.
Dans la continuité avec la rime précédente VALD essaye de se donner des idées positives de gagnant à travers un jeu de mots bien trouvé.
Grosminet est un chat idiot qui n’arrive jamais à attraper sa proie, Titi. La « chatte » femelle du chat est également un mot d’argot pour décrire l’organe sexuel féminin qui ne serait donc jamais capable de manger sa proie et dont VALD ne veut pas être le plan de secours. Les caractéristiques physiques de Grosminet sont également répugnantes quand il s’agit de les associer à une « chatte », avec sa large moustache et son gros nez rouge… Enfin, Grosminet ressemble à gros minou, ce qui est de nouveau loin des codes du désir.
Derrière ces phrases apparemment banales VALD est extrêmement hardcore.
Sa façon de se taper de doigt sur sa tête pendant le clip à ce moment-là, c’est comme s’il essayait de se souvenir de son âme de vainqueur parce qu’il n’y croit plus trop avec ses idées suicidaires.
La mer apaisée est utopique. La seule mer apaisée est celle dont tu te fais l’image en écoutant 1 coquillage.
Mais pourquoi VALD dit-il cela ?
Pas l’temps de niaiser pour le copinage. Parce que coquillage signifie nouveau vagin ici. Vulgairement VALD arrive à apaiser le « coquillage » d’une mère, mais que celui-ci. Il en profite donc pur l’apaiser (ie. Coucher avec elle), mais ne s’embête pas à l’apaiser autrement que sexuellement. Là encore VALD est trash.
Gorillaz est un groupe dont une des particularités est de représenter tous ses clip avec des dessins de 4 personnages fictifs peu soigné, aux dents cassées, presque déformés et aux yeux creusés. VALD a fumé trop d’herbe et il a les traits si fatigués (comme dans ses interviews) qu’il en serait difforme comme un personnage de cartoon exagéré.
VALD fait référence à Nikita Bellucci, l’actrice porno qui a tourné dans ses 3 clips pour la chanson Selfie, et qui lui a effectivement tweeté un message d’encouragement après la sortie de son album. VALD se vante donc d’avoir gardé un bon contact avec elle, et d’être l’ami d’une femme fantasmée par beaucoup.
Ce délire du porno est assez récurrent chez VALD. Pendant son actuelle tournée, il a posé avec Jessie Volt, dans Journal Intime, il évoque Eva Angelina (comme un exemple de relation amoureuse réussie), et Tory Lane dans Shoote Un Ministre (ne vous inquiétez pas, il a fallu que je fasse des recherches pour que je sache que c’était des actrices porno).
Coucher avec des mères, fumer à en avoir les traits déformés, connaitre des actrices porno… Dans ce paragraphe, VALD nous rappelle que dans cette société débridée qu’il y a encore des tabous, des sujets qui gênent même les jeunes et il se délecte des plaisirs les plus interdits, et choque. Il justifie ainsi la phrase qui précède le paragraphe selon laquelle il ferait mieux de « reprendre le shit » pour calmer ses élans.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
VALD a envie de donner une leçon. Il n’a a priori pas de fils donc cette phrase est assez mystérieuse.
Comme souvent les parents élèvent leurs enfants de manière à combler/compenser ce qu’ils n’ont pas bien fait quand ils étaient jeunes, on peut supposer que son fils est son alter ego plus jeune et que si c’était à refaire il ne pleurerait pas, et il apprendrait à manœuvrer en regardant le Sheitan (le Diable). Cette phrase rappelle la doctrine chrétienne selon laquelle si le monde est la propriété de Dieu, le monde, lui, est régi et dominé par le « Prince des Ténèbres ». Le conseil de VALD est donc de ne pas essayer de le combattre, mais d’apprendre à connaître ses techniques et de se les approprier. Son message est très pessimiste.
VALD a envie de donner une leçon. Il n’a a priori pas de fils donc cette phrase est assez mystérieuse.
Comme souvent les parents élèvent leurs enfants de manière à combler/compenser ce qu’ils n’ont pas bien fait quand ils étaient jeunes, on peut supposer que son fils est son alter ego plus jeune et que si c’était à refaire il ne pleurerait pas, et il apprendrait à manœuvrer en regardant le Sheitan (le Diable). Cette phrase rappelle la doctrine chrétienne selon laquelle si le monde est la propriété de Dieu, le monde, lui, est régi et dominé par le « Prince des Ténèbres ». Le conseil de VALD est donc de ne pas essayer de le combattre, mais d’apprendre à connaître ses techniques et de se les approprier. Son message est très pessimiste.
Cette phrase aussi est énigmatique.
VALD peut parler d’une cigarette ou d’un pétard qu’il rallume en faisant la même grimace que s’il était dans la position sexuelle de la levrette sans préciser de quel genre il parle.
La deuxième interprétation possible est celle de la flamme du désir qu’il rallume. Dans ce cas, il dit qu’il aime la levrette.
On peut aussi entendre "Quand je râle il m’dégaine la grimace de la levrette" . Il s’agirait de mon fils. Quand VALD lui fait la leçon, celui-ci joue la comédie et fait semblant d’être effarouché.
Cette suite de phrases s’analyse dans son ensemble. Toujours pour flouer les cartes VALD s’identifie à la fois trop dur pour les racailles de Gare de l’Est, pourtant connus pour être dans la frange pauvre et criminelle de Paris, et en même temps comme le baptou fragile (le gwer, le blanc) vis-à-vis des Guadeloupéens -dont le taux de criminalité et le plus élevé de France.
VALD rétablit ainsi l’échelle de « dureté », déformée par l’imagerie du rap.
Cette suite de phrases s’analyse dans son ensemble. Toujours pour flouer les cartes VALD s’identifie à la fois trop dur pour les racailles de Gare de l’Est, pourtant connus pour être dans la frange pauvre et criminelle de Paris, et en même temps comme le baptou fragile (le gwer, le blanc) vis-à-vis des Guadeloupéens -dont le taux de criminalité et le plus élevé de France.
VALD rétablit ainsi l’échelle de « dureté », déformée par l’imagerie du rap.
Cette suite de phrases s’analyse dans son ensemble. Toujours pour flouer les cartes VALD s’identifie à la fois trop dur pour les racailles de Gare de l’Est, pourtant connus pour être dans la frange pauvre et criminelle de Paris, et en même temps comme le baptou fragile (le gwer, le blanc) vis-à-vis des Guadeloupéens -dont le taux de criminalité et le plus élevé de France.
VALD rétablit ainsi l’échelle de « dureté », déformée par l’imagerie du rap.
VALD fait référence à Cyril Lignac, cuisinier médiatique. La recette, c’est à la fois la recette de la célébrité, mais aussi des mélanges de drogues pour se monter en l’air, entre herbe et sirop de codéine etc.
Il fait aussi un big up au groupe 667 (Freeze corleone) dont il a récemment découvert l’existence et qu’il apprécie beaucoup, comme en témoignent ses choix musicaux dans son interview pour Clique que vous pouvez voir sur lien ci dessus :
Outre le célèbre fusil d’assaut inventé par le soviétique Kalachnikov, l’AK 47 est aussi une des variétés de cannabis les plus fortes au monde (jusqu’à 30% de THC, ce qui est très rare pour un cannabis natuel). La Kalash s’exporte et se produit dans de nombreux pays du monde de par son efficacité et son faible coût de production. Quant à l’herbe, elle est assez forte pour qu’un fumeur soit à l’ouest après l’avoir fumé. VALD est souvent accusé d’être lui-même à l’ouest. En lien avec l’analyse du refrain, il se considère tout de même génial et incompris, à cause de la puissance de son rap, à l’image de l’arme et de l’herbe.
Outre le célèbre fusil d’assaut inventé par le soviétique Kalachnikov, l’AK 47 est aussi une des variétés de cannabis les plus fortes au monde (jusqu’à 30% de THC, ce qui est très rare pour un cannabis natuel). La Kalash s’exporte et se produit dans de nombreux pays du monde de par son efficacité et son faible coût de production. Quant à l’herbe, elle est assez forte pour qu’un fumeur soit à l’ouest après l’avoir fumé. VALD est souvent accusé d’être lui-même à l’ouest. En lien avec l’analyse du refrain, il se considère tout de même génial et incompris, à cause de la puissance de son rap, à l’image de l’arme et de l’herbe.
Référence directe aux terroristes dans un contexte de tension après les événements de 2016.
De l’attaque de « Charlie Hebdo » et de l’« Hyper casher » en janvier 2015 à la mort du père Jacques Hamel à Saint-Etienne-de-Rouvray, mardi 26 juillet, ce sont 238 personnes qui ont perdu la vie dans des attentats et attaques terroristes, qui ont également fait des centaines de blessés.
Il peut s’agir de Nicolas Bedos, fils de Guy Bedos, dont l’orgueil et la prétention affichée sont la marque de fabrique pour tenter de cacher son manque de talent et les portes ouvertes par le père, ancien humoriste et personnalité connue des Français. Ou bien de Nicolas Sarkozy, qui a toujours, en campagne électorale, affiché une grande confiance pour sa victoire.
Le Ricolas est une pastille rafraîchissante aux herbes qui donne une bonne haleine. L’une ou l’autre des personnalités serait à la fois prétentieuse sans l’assumer pleinement alors que VALD en fait un objet de fierté propre au rap.
Nième référence sexuelle.
Tu as fumé de la drogue, tu as les yeux rouges comme le personnage de la série TV japonaise. Référence que VALD avait déjà utilisé 4 ans auparavant dans "Gusta Me" titre que vous pouvez écouter sur le lien ci dessus :
Tu as fumé de la drogue, tu as les yeux rouges comme le personnage de la série TV japonaise. Référence que VALD avait déjà utilisé 4 ans auparavant dans "Gusta Me" titre que vous pouvez écouter sur le lien ci dessus :
Bien que pas svelte, VALD pèse moins que 93 kilogrammes, 93 est le numéro de la Seine-Saint-Denis, département de son origine.
VALD prend la peine de contribuer à l’herméneutique de son texte pour préciser que cette phrase est une dédicace à Produit de mon environnement de Mac Tyer « 93 tu marches sur de la braise, tu nous testes, on te baise », rappeur peu connu mais avant-gardiste que VALD admire, et qui a annoncé son style cynique et moqueur. Par exemple Mac Tyer se dédouane de dire des inepties comme tout le monde au nom du fait qu’il est déterminé par son environnement dans ce titre –« J’suis qu’un produit de mon environnement ». Mais c’est une moquerie de ceux qui acceptent la situation en même temps qu’une accusation. Cette façon de faire VALD se l’est appropriée. Reconnaissant de l’héritage de Mac Tyer, il lui fait une autre dédicace (beaucoup plus explicite) dans le titre L.D.S. (Lunettes de Soleil) du même album Agartha où il dit « Chui l’produit d’mon environnement comme Mac Tyer ». titre que vous pouvez écouter sur le lien ci dessus :
Trop défoncé (Rabbat), VALD passe de l’euphorie aux larmes. Trop défoncé il fait un bad trip et se met à pleurer. Derrière Sniper parce que ce groupe a déjà utilisé l’expression pour un de leur morceaux à succès. Kid Cudi est donc, avec Mac Tyer, Weedim et sa bande, Alkpote et maintenant Sniper, un florilège de dédicaces de VALD à ses inspirations, groupes préférés et collaborateurs. Car Sniper et VALD ont dormi sous le même toit du producteur Tefa.
Tefa, de son vrai nom David Bonnefoi, est un disc jockey, producteur, et acteur français. Il est connu pour ses productions avec Masta, au sein du collectif Kilomaître, mais aussi parce qu'il était, avec Moox, l'ancien DJ de Touche pas à mon poste !
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Voilà la recette.
Avec le jeu de mots autour du verbe. Emballer, c’est mettre un emballage (le joint, ou bien la MDMA), embrasser la molécule (en prendre beaucoup), ou provoquer la réaction chimique à l’intérieur du corps, la consommer. Mais si l’opercule ne concerne pas le Redbull, il peut s’agir d’antidépresseurs en plaquette.
Effectivement, les épisodes de l’Agartha Tour son tellement sales qu’y être est synonyme d’abus d’alcool et de substances de toutes sortes.
Mauvaise parce que ses ovaires brûlent, elle a ses règles.
Image réservée aux initiés du manga Berserk qui se déroule dans un univers médiéval fantastique et qui renvoie à une image particulièrement sombre de l’âme humaine de par ses thèmes (massacres, pédophilie, et toute autre sorte de tabous) et la précision gore avec laquelle chaque détail est montré.
Mais l’origine du mot, qui a inspiré le titre du manga, est norvégienne, et désigne la partie animale de chacun, violente, qui donne de la force au combat et fait perdre le contrôle de ses pulsions.
Il attend le jugement dernier (les nations, apocalypse de Jean). Mais la dernière nouvelle, c’est celle des infos en continu, qui décrivent un monde en chaos toute la journée, et qui témoignent d’un monde vide de sens, où une révélation de la vérité de ce monde est immédiatement remplacée par une autre contradictoire, dans un combat d’idéologies pour le pouvoir.
Il attend le jugement dernier (les nations, apocalypse de Jean). Mais la dernière nouvelle, c’est celle des infos en continu, qui décrivent un monde en chaos toute la journée, et qui témoignent d’un monde vide de sens, où une révélation de la vérité de ce monde est immédiatement remplacée par une autre contradictoire, dans un combat d’idéologies pour le pouvoir.
Il n’y a rien à croire pour VALD, juste jouir en l’’absence de morale. Il remplace le culte religieux par le sien de « souille », c’est-à-dire de consommation de drogues, musique et autres plaisirs des sens. De par cette inversion des valeurs les plus philosophes d’entre nous comprendront le rapprochement de VALD aux mouvements de l’absurde d’Albert Camus, et de libertinage matérialiste de Giordano Bruno, en France décrit par Choderlos de Laclos.
Discrètes et dangereuses comme un couteau, les célébrations de VALD sont capables de créer grandes souffrances sans prendre beaucoup de place. Une confirmation de son usage de drogues.
Il est intéressant de remarquer que, même si VALD s’y montre très lié, il ne défend pas les vertus de la drogue, et même en condamne les effets. Ici, mais aussi dans Promesse où à l’époque, il disait «J’ai jamais pris d’exta’, j’ai peur que ca m’plaise, ça », où il avait peur d’être emporté par l’addiction. C’est finalement ce qu’il confesse dans cet album, à plusieurs reprises. Il consacre même une chanson à ce thème, Ma meilleure amie qu’est la drogue, et qui l’isole des autres, l’accompagne dans ses pertes d’espoir et ses angoisses, prend le dessus sur lui.
Plus rien n’a de sens, pas même se lever. Se lever, c’est se lever POUR, c’est vouloir quelque chose ou prendre position. Dans une perte totale de repères, plus rien ne vaut la peine d’être fait.
Toujours avec des connotations religieuses -sataniques, VALD a souvent l’attitude du Diable tel qu’il est décrit dans le catéchisme de l’Eglise catholique- le rappeur met l’accent sur les yeux, miroir de l’âme. Pour pouvoir les voir, il demande une position sexuelle de face. Il est amusant de voir qu’il inverse la hiérarchie de domination sexuelle. Il domine plus sa partenaire de face, en contemplant son âme que de dos.
Dernier vers du dernier couplet, VALD a perdu tout espoir et justifie plus que jamais le refrain. Il a beau faire des bonnes actions, il est hanté par des meurtres ensanglantés, que soit lui, soit l’injustice du monde l’ont commis, et que rien ne rattrapera. Car on ne guérit pas de la mort.
VALD condamne par la même occasion tous les meurtriers à qui il parle à ne jamais se pardonner.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.
Refrain ni chantant, ni poétique, ânonné sans entrain. Pourtant VALD en fait la clef de voûte de son morceau puisque c’est à la fois son titre et son refrain.
Comme VALD le dit dans cette interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus( à partir de 11min30) :
il n’a pas envie de se suicider mais il a été touché par le message de Kid Cudi et s’est identifié à lui. D’ailleurs Kid Cudi ne s’est pas suicidé.
Mais quelle véritable envie de VALD le refrain traduit-il ?
On en vient au fond du morceau et de la pensée de VALD. Tous 2 sont artistes, et consomment de la drogue. Kid Cudi a combattu son addiction pour la cocaïne à base de majejuana et VZLD arrive souvent dans un état second ou avec la gueule de bois en interview. Pour les plus sceptiques, il suffit de regarder le premier épisode de l’Agartha Tour sur Youtube.
Toutefois, le refrain traduit deux choses que VALD envie à Kid Cudi. Qui se sont retrouvées dans le post Facebook de l’artiste américain du 5 Octobre annonçant son retrait temporaire sur la scène médiatique.
La première est la capacité de don de soi et d’honnêteté de Kid Cudi vis-à-vis du public. Les é artistes sont proches de leurs fans mais contrairement à Kid Cudi qui exprime ouvertement ses sentiments pour la marijane dans The Prayer.
VALD a longtemps eu horreur de devoir parler de lui en interview. Il dit « J’ai beaucoup de mal à être ‘’pour de vrai’’ » dans une interview que vous pouvez voir sur le lien ci dessus :
Il a toujours considéré ses œuvres comme de l’art impersonnel, extérieur à lui, ce qui lui a d’ailleurs permis de ne pas se fixer de limites éthiques (Autiste, Selfie et à peu près tous ses clips en fait). Il en témoigne lui-même ici ( à la 7ième minute )
L’expérience de Selfie est très éclairante. VALD a accompagné dans le clip les ébats du couple porno qui tournait pour lui dans les 3 versions de Selfie, la « romantique », l’ « érotique » et la « pornographique ». Pourtant –et il le témoigne dans cette interview ( 9ième minute) :
VALD est incapable de regarder la scène pornographique qui se déroule à ses pieds, autrement que derrière l’écran de son téléphone portable qui filme la scène de sexe. Ce qui est peut-être normal aujourd’hui, mais c’est pourtant lui qui a eu l’idée du concept.
VALD ne veut pas sortir de l’absurdité et de l’humour 2nd degré qui lui sert de couverture. Les seuls clips pù il a l’air de se prendre au sérieux sont anciens et traitent d’un amour déçu (et de problèmes d’addiction) ; ce sont Journal Perso :
et Parle moi :
Mais depuis VALD se cantonne au rôle de pitre à sa manière et refuse de passer des messages sérieusement.
Ce qui nous amène à la 2ième différence entre Kid Cudi et VALD. Ce dernier est non seulement impressionné par le message sérieux que Kid Cudi a été capable de poster (bien qu’il ait eu du mal à trouver les mots) mais il lui envie également la vague de compréhension qui s’est déclenchée à la sortie de Kid Cudi. Au-delà du nombre impressionnant d’encouragements (presque 600 000 likes, des dizaines de milliers de commentaires sympathiques et plus de 130 000 partages…) c’est l’empathie que VALD souhaiterait avoir. En effet, dans cette interview, il se rappelle qu’il a toujours fait rire malgré lui, même quand il donnait la même réponse en classe. Lui qui ne s’est jamais plaint et a souvent essayé de faire passer des messages à travers ses textes est rarement pris au sérieux ( à partir de la 15ième minute ) et encore moins compris. Ca l’énerve comme la phase « Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous des coups » de Promesse en témoigne. Il n’est pas là pour amuser la galerie et a des choses à dire contrairement aux autres guignols de la chanson française. A travers son suicide, Kid Cudi n’est pas mort mais il s’est montré tel qu’il était et en a été récompensé.
Ainsi, par cette phrase, VALD synthétise les deux envies de sa carrière : se confier et être compris. Et les deux sont complémentaires : si je me confie je suis mieux compris, et si je suis mieux compris je me confierai plus volontiers.