Steeve wonder, une icône de la pop et du rythm and blues. Il a initié un sens du rythme, de la mélodie, des harmonies et des sonorités qui lui vaut d'avoir marqué durablement de son empreinte l'histoire de la musique de ces quatre dernières décennies. Il lui aura suffit de quatre albums, "Talking book", "Innervision", "Fullfillingness first finale" et "Songs in the key of life", pour s'imposer comme une institution de la soul.
Ainsi, selon les dires de Vianney, sa mère étaient fan de ce chanteur, notamment lorsqu'elle était enceinte de lui, ça expliquerait peut être son dévouement pour la musique ?
Steeve wonder, une icône de la pop et du rythm and blues. Il a initié un sens du rythme, de la mélodie, des harmonies et des sonorités qui lui vaut d'avoir marqué durablement de son empreinte l'histoire de la musique de ces quatre dernières décennies. Il lui aura suffit de quatre albums, "Talking book", "Innervision", "Fullfillingness first finale" et "Songs in the key of life", pour s'imposer comme une institution de la soul.
Ainsi, selon les dires de Vianney, sa mère étaient fan de ce chanteur, notamment lorsqu'elle était enceinte de lui, ça expliquerait peut être son dévouement pour la musique ?
Vianney fait une réflexion intéressante, il pense qu'étant enfant, prit par notre innocence, nous ne voyons les choses qu'avec le cœur, sans préjugés et sans hypocrisie.
Il n'y a que les adultes, qui ancrés dans une société portée sur l'image, nous incite à avoir des jugements trop hâtives sur les gens avant même de les connaitre vraiment.
Marre d'être confronté à ce constat, il va se réfugié dans son enfance et cette nostalgie le pousse à se revoir enfant, analysant ses relations et ses état d'âme.
Vianney fait une réflexion intéressante, il pense qu'étant enfant, prit par notre innocence, nous ne voyons les choses qu'avec le cœur, sans préjugés et sans hypocrisie.
Il n'y a que les adultes, qui ancrés dans une société portée sur l'image, nous incite à avoir des jugements trop hâtives sur les gens avant même de les connaitre vraiment.
Marre d'être confronté à ce constat, il va se réfugié dans son enfance et cette nostalgie le pousse à se revoir enfant, analysant ses relations et ses état d'âme.
Ce que Vianney affirme, et on ne peut pas le contester, c'est que les hommes passent le plus clair de leur temps à rêvasser que prendre leur vie en main pour réaliser leur rêves.
On n'est jamais content de ce qu'on a, on cherche à avoir ce qu'on n'a pas, et une fois réussit on cherche à avoir autre chose sans être jamais satisfait de ce qu'on possède... Ah la nature humaine !
mettre notre foie dans le plus gris des états pourrait faire référence à la cirrhose du foie alcoolique, maladie dû à la consommation chronique et excessive d'alcool, qu'est-ce qui est le plus dangereux pour le foie que l'alcool.
Boire permet d'oublier ses soucis au lieu de les affronter.
Affrontez votre réalité au lieu de vous cacher derrière votre bouteille !
Ce que Vianney affirme, et on ne peut pas le contester, c'est que les hommes passent le plus clair de leur temps à rêvasser que prendre leur vie en main pour réaliser leur rêves.
On n'est jamais content de ce qu'on a, on cherche à avoir ce qu'on n'a pas, et une fois réussit on cherche à avoir autre chose sans être jamais satisfait de ce qu'on possède... Ah la nature humaine !
mettre notre foie dans le plus gris des états pourrait faire référence à la cirrhose du foie alcoolique, maladie dû à la consommation chronique et excessive d'alcool, qu'est-ce qui est le plus dangereux pour le foie que l'alcool.
Boire permet d'oublier ses soucis au lieu de les affronter.
Affrontez votre réalité au lieu de vous cacher derrière votre bouteille !
On oublie bien souvent notre bonté intérieur, nous nous laissons submergés par les tracs, les jugements d’autrui
On oublie bien souvent notre bonté intérieur, nous nous laissons submergés par les tracs, les jugements d’autrui
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Vianney est un cérébral. Il semble toujours en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions puis transpose ses interrogations en paroles.
Toujours dans la même démarche d'une rétrospection, cette fois il se demande ce que les gens peuvent bien aimer si ils ne peuvent pas avoir un brin d'amour pour soi-même.
Si on n'apprend pas à s’aimer soi-même, comment bien savoir aimer les autres ?
Jamais, personne nous a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? ça ne devrait pas avoir de sens ! On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si on n’apprend pas à s'aimer soi-même, on ne pourra pas non plus aimer les autres. Si on ne se traite pas avec tendresse, on ne peut pas non plus le faire avec les autres. C’est psychologiquement impossible. On traite les autres comme on traite soi-même. C’est un fait. et ça aura des répercussions directes sur nos relations avec autrui car on aura beaucoup de mal à donner puisqu'on attend à recevoir.
Après cette longue réflexion, il fini par se résoudre à s'en aller, s'en voler comme Dumbo
Vianney est un cérébral. Il semble toujours en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions puis transpose ses interrogations en paroles.
Toujours dans la même démarche d'une rétrospection, cette fois il se demande ce que les gens peuvent bien aimer si ils ne peuvent pas avoir un brin d'amour pour soi-même.
Si on n'apprend pas à s’aimer soi-même, comment bien savoir aimer les autres ?
Jamais, personne nous a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? ça ne devrait pas avoir de sens ! On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si on n’apprend pas à s'aimer soi-même, on ne pourra pas non plus aimer les autres. Si on ne se traite pas avec tendresse, on ne peut pas non plus le faire avec les autres. C’est psychologiquement impossible. On traite les autres comme on traite soi-même. C’est un fait. et ça aura des répercussions directes sur nos relations avec autrui car on aura beaucoup de mal à donner puisqu'on attend à recevoir.
Après cette longue réflexion, il fini par se résoudre à s'en aller, s'en voler comme Dumbo
Vianney est un cérébral. Il semble toujours en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions puis transpose ses interrogations en paroles.
Toujours dans la même démarche d'une rétrospection, cette fois il se demande ce que les gens peuvent bien aimer si ils ne peuvent pas avoir un brin d'amour pour soi-même.
Si on n'apprend pas à s’aimer soi-même, comment bien savoir aimer les autres ?
Jamais, personne nous a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? ça ne devrait pas avoir de sens ! On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si on n’apprend pas à s'aimer soi-même, on ne pourra pas non plus aimer les autres. Si on ne se traite pas avec tendresse, on ne peut pas non plus le faire avec les autres. C’est psychologiquement impossible. On traite les autres comme on traite soi-même. C’est un fait. et ça aura des répercussions directes sur nos relations avec autrui car on aura beaucoup de mal à donner puisqu'on attend à recevoir.
Après cette longue réflexion, il fini par se résoudre à s'en aller, s'en voler comme Dumbo
Vianney est un cérébral. Il semble toujours en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions puis transpose ses interrogations en paroles.
Toujours dans la même démarche d'une rétrospection, cette fois il se demande ce que les gens peuvent bien aimer si ils ne peuvent pas avoir un brin d'amour pour soi-même.
Si on n'apprend pas à s’aimer soi-même, comment bien savoir aimer les autres ?
Jamais, personne nous a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? ça ne devrait pas avoir de sens ! On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si on n’apprend pas à s'aimer soi-même, on ne pourra pas non plus aimer les autres. Si on ne se traite pas avec tendresse, on ne peut pas non plus le faire avec les autres. C’est psychologiquement impossible. On traite les autres comme on traite soi-même. C’est un fait. et ça aura des répercussions directes sur nos relations avec autrui car on aura beaucoup de mal à donner puisqu'on attend à recevoir.
Après cette longue réflexion, il fini par se résoudre à s'en aller, s'en voler comme Dumbo
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Le titre du morceau est, incontestablement, une référence au Disney du même nom.
Petit point culture s'impose :
Dumbo, est le 5e long-métrage d'animation, l'un des plus courts d'ailleurs et le 4e grand Classique d'animation des studios Disney, sorti aux États-Unis en 1941.Véritable chef-d'œuvre, il est bâti sur une histoire d'une simplicité enfantine racontable, de bout en bout, en cinq petites minutes.
Il est basé sur l'histoire éponyme d'un petit éléphanteau handicapé par deux grandes oreilles, l'histoire se passe dans un cirque, il se voit moqué, persécuté et rejeté par ses semblables au seul motif de sa différence. Sa mère finit par réagir au vu de cette méchanceté gratuite envers lui mais face à son agressivité, celle ci se voit mise en isolation. Ainsi, Dumbo se retrouve seul mais fort heureusement, il fait la rencontre, d'un souriceau, Timothée, qui lui seul sera son ami en l'acceptant sans porté de préjugés, ayant envie de faire de lui la star du cirque, il l'aidera à transformer son handicap en atout. Au fil de leurs aventures, Dumbo finira par utiliser ses oreilles pour voler, véritable exploit, il deviendra de ce fait la star du cirque que tout le monde admirera. C’est donc une fin pleine d’espoir qui nous est raconté.
Malgré sa brièveté et le petit budget consacré à sa production, le film est l'un des préférés du public grâce à son histoire simple et émouvante. Et c'est là que se trouve sans aucun doute tout son génie ! car c'est justement la clarté du scénario qui a permis en effet au film d'être adopté avec une facilité déconcertante par le grand public et la critique.
Vianney doit porter en lui le même message que la petite morale cachée derrière l'histoire du petit Dumbo, il s'en inspire d'ailleurs pour en faire une chanson et lui donne son nom au titre.
Derrière ce couplet il voudrait nous dire, très certainement, de s'accepter tel que l'on est, de ne pas avoir peur d'être soi-même, de savoir assumer ses défauts en les exploitant pour les transformer en qualités, de surtout survoler les critiques et ne pas s'y attarder. Bref prendre de la hauteur comme l'a su le faire Dumbo.
Le monde est fait de diversité, Respectons notre individualité, ayons le courage d’apposer notre propre signature. Cessons de nous métamorphoser pour être des copies conforme aux autres.
Personne ne devrait être ce qu’il n’est pas, de faire semblant . Tout le monde devrait être soi-même
C’est alors, lorsqu’on lâche prise et qu’on se laisse libre court à nous même d’être ce que l’on veut, que l'harmonie et la plénitude règne en nous, plus rien à s’imposer, plus besoin de lutter, ou d’être en conflit avec soi même, l'innocence rejaillit et c'est de cette innocence que Vianney veut nous parler en se replongeant dans son enfance, c'est ce qu'il veut que tout le monde retrouve. Dans cette innocence, surgissent la compassion et l’amour et ce n’est qu’à ce moment là qu’on peut être heureux
Vianney vole donc au dessus de ses défauts, comme Dumbo. Cette métaphore nous est plus claire désormais !
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité
Il parle de la nécessité d'apprendre à s’aimer soi-même, autrement dit d’atteindre un niveau salutaire d’autoestime
Il invite chacun à s'accepter tel qu'il est, d'avoir de l'amour pour soi et de la bienveillance
Il y a un petit côté Souchon, dans cette façon d’assumer sa fragilité et sa sensibilité, de faire part de ses doutes et de ses convictions
Vianney est un cérébral. Il semble en introspection permanente, il décortique tout. Il se pose des questions et les transpose en chansons. Y compris ses troubles ou ses interrogations les plus intimes.
Vianney fait une rétrospection sur lui même, un voyage vers son passé pour explorer son intérieur, sa réelle nature et en vient à une conclusion bien claire, la clef c'est de " s'aimer soi-même ".
Lors d'une interview consacrée à Vianney, il se confie au journaliste :
- Sur « Dumbo », vous dites qu’il faut s’aimer soi-même. Ça n’a pas toujours été votre cas ?
- À certains moments, je ne m’aime pas mais je suis sûr de ce que je suis, sûr de m’être construit comme je le voulais et je n’ai aucun regret même si, comme tout le monde, j’ai des complexes.
Ce ci devrait résonner en chacun,
" En éléphant moi, je ne me trompe pas, quand je dis qu'il faut qu'on s'aime soi ".
Et pourtant, il n’y a aucun égocentrisme là-dedans. Au contraire, il a totalement raison ses sentiments personnelles deviennent généralité car chacun de nous a plus ou moins vécu les mêmes situations, émis les mêmes réflexions.
La société nous a apprit à ne pas être comme on devrait être, on nous a conditionné à être conforme à une certaine norme et ne pas se dévoiler sous notre meilleure forme, jusqu'à s'ignorer soi- même, se mentir à soi même, que ce n'est pas convenable autrement
Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit. Une haine profonde surgit envers toi.
Le premier pas est donc que chacun s’accepter tel qu'il est. Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.
Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.... et c'est de cette innocence que Vianney nous parle, cette nostalgie ....
Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !
Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. la vie est faite de diversité