Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
Il y a en ces mots une allégorie. C'est une hymne à l'unité ...
"Un seul chemin"... Un monde sans frontières. Il n'y aurait alors pas de pays, de continents, d'origines, de nationalités.
"Un long ruban de détours" : Un monde pareil permettrait à toute personne de découvrir tout ce qui fait la nature qui la porte en son sein. Des détours partout. Une véritable quête du soi et de l'autre. La fraternité dominante nourrirait la sociabilité. Quiconque pourrait faire cela, sans obstacles, aussi bien financiers que de l'ordre du "stéréotype" quel qu'il soit qui , aujourd'hui colonise et écume les raisons.
"Qu'une seule chanson sur la piste" : qu'il n'y ait qu'une seule hymne, celle de l'amour, de l'humanité. Que nul message de haine ne persiste en des bouches. Que toutes les âmes vibrent à l'unisson, à l'amour...
"Semblable à la pliure de nos mains" vient justement étayer ce sens, puisque les pliures de nos mains ont cette caractéristique de se ressembler dans leurs différences ! Nous avons les mêmes mains, nous avons tous des pliures, à les observer de loin , sans s'y attarder on aurait l'impression que toutes les mains portent les mêmes pliures. Pourtant lorsqu'on s'y attarde on voit bien des différences.
Ainsi est l'humanité. Semblable aux pliures des mains. Nous sommes tous semblables dans nos différences. Nous sommes unité, à différents aspects. C'est cela qui fait notre richesses, notre mystère, et notre précieux.
"Qu'il n'y ait jamais eu de parallèles" : Les parallèles ne convergent jamais. Ils sont d'une certaine façon en opposition. Ils sont d'ailleurs l'opposition même de l'unité ! Il aimerait alors que tous ces "différents" qui donnent vie à des "clans" , des ennemis , n'eussent jamais existé.
"Quand, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.”
-L'âme du monde.
"Que des distances sans mesure" : Que ne persiste que l'infinité , sous tous ses aspects. L'infinité qu'est l'âme.
La boucle est bouclée... Mot de la fin , qui rejoint le mot initiateur : Que finalement tout converge , qu'il n' y ait qu'un seul chemin... L'unité.
A ceux qui lisent ces mots et qui se sentent profondément triste que la réalité ne soit pas ainsi : Il est du bon et du mauvais en toute chose. Songez à ce qu'un monde comme le notre , en spiral, nous apporte de bon. Il nous fait grandir, nous rend forts. Nous pousse à nous surpasser, à créer, vouloir apporter des choses à l'humanité. Songez au goût d'un triomphe sans obstacles, et réalisez comme , en votre évolution dans un monde tel que celui-ci, c'est vous-même que vous sculptez.
L'esquisse de ce qui vous semble être la meilleur version de vous-même, qui se pavane dans votre esprit aujourd'hui vous semblera, au fil du temps, des obstacles, et de votre transformation, si ... peu valeureuse. Vous serez meilleur.
Aux Anglophobes : Le chemin n'est pas une ligne droite; c'est une spirale. Vous revenez continuellement sur des choses que vous pensiez avoir compris et y voyez de plus profondes vérités.
"Si l'on arpente" , revient justement à dire qu'il y a une condition à la "réussite" d'un monde d'unité. Qu'il faut justement se risquer à la découverte du tout, des autres, qui ne sont que différentes manifestations de nous-même.
Certains pourraient rejeter cette unité, voudraient alors se démarquer, c'est un peu dans la nature humaine de courtiser l'atypique !
l'étrangeté est le condiment nécessaire de toute beauté.
Charles Beaudelaire.
"Et si je n'avais fait que t'attendre" : Car dans un monde aussi sublime que décrit plus haut, il n' y aurait pas d'amour superficiel. "D'exploitation" amoureuse . De vaines craintes, Il n'y aurait pas de fierté, de stéréotypes justement.. Comme ceux qui entrent en jeu dans les amours impossibles.
Alors, en ce monde, il n'aurait pas baissé les bras. Il n'aurait pas laissé partir son amour.
"Que mes chutes ne furent qu'un relief" : Relief est ce qui est saillant sur une surface unie. Tout est dit... Que nos chutes, moments de faiblesses, ne soient que de vulgaires saillis , en une stabilité et harmonie dominante.
"Une mise à nu pour un sur mesure" : Que justement ces moments de faiblesses nous mènent à une rencontre du soi dans sa quintessence. Car les faiblesses sont là aussi bien pour annihiler notre arrogance et narcissisme que pour l'animer, en nous donnant justement envie d'atteindre la meilleur version de soi-même. Et c'est cette volonté de transformation qui aboutira à notre "sur mesure" .
"Et si je n'avais fait que t'attendre" : Car dans un monde aussi sublime que décrit plus haut, il n' y aurait pas d'amour superficiel. "D'exploitation" amoureuse . De vaines craintes, Il n'y aurait pas de fierté, de stéréotypes justement.. Comme ceux qui entrent en jeu dans les amours impossibles.
Alors, en ce monde, il n'aurait pas baissé les bras. Il n'aurait pas laissé partir son amour.
"Que mes chutes ne furent qu'un relief" : Relief est ce qui est saillant sur une surface unie. Tout est dit... Que nos chutes, moments de faiblesses, ne soient que de vulgaires saillis , en une stabilité et harmonie dominante.
"Une mise à nu pour un sur mesure" : Que justement ces moments de faiblesses nous mènent à une rencontre du soi dans sa quintessence. Car les faiblesses sont là aussi bien pour annihiler notre arrogance et narcissisme que pour l'animer, en nous donnant justement envie d'atteindre la meilleur version de soi-même. Et c'est cette volonté de transformation qui aboutira à notre "sur mesure" .
"Et si je n'avais fait que t'attendre" : Car dans un monde aussi sublime que décrit plus haut, il n' y aurait pas d'amour superficiel. "D'exploitation" amoureuse . De vaines craintes, Il n'y aurait pas de fierté, de stéréotypes justement.. Comme ceux qui entrent en jeu dans les amours impossibles.
Alors, en ce monde, il n'aurait pas baissé les bras. Il n'aurait pas laissé partir son amour.
"Que mes chutes ne furent qu'un relief" : Relief est ce qui est saillant sur une surface unie. Tout est dit... Que nos chutes, moments de faiblesses, ne soient que de vulgaires saillis , en une stabilité et harmonie dominante.
"Une mise à nu pour un sur mesure" : Que justement ces moments de faiblesses nous mènent à une rencontre du soi dans sa quintessence. Car les faiblesses sont là aussi bien pour annihiler notre arrogance et narcissisme que pour l'animer, en nous donnant justement envie d'atteindre la meilleur version de soi-même. Et c'est cette volonté de transformation qui aboutira à notre "sur mesure" .
Alors toutes ces raisons qui nous ébranlent et nous éloignent de l'amour - pure et entier, que l'on doit porter envers soi, et donc envers les autres- ne représenteraient que des sources de voyage en soi. Et quel bonheur que de s'évader si loin à l'intérieur de nous-même !
"Et toutes mes joies ne furent que pause" : Ces moments d'insouciance , de satisfaction de soi ... ne sont que des moments de repos entre deux voyages.
Alors toutes ces raisons qui nous ébranlent et nous éloignent de l'amour - pure et entier, que l'on doit porter envers soi, et donc envers les autres- ne représenteraient que des sources de voyage en soi. Et quel bonheur que de s'évader si loin à l'intérieur de nous-même !
"Et toutes mes joies ne furent que pause" : Ces moments d'insouciance , de satisfaction de soi ... ne sont que des moments de repos entre deux voyages.
S’adressant ici à lui-même , il dit que dans les moments de repos justement, ( donc de joie ) il "rechargeait les batteries" pour une prochaine découverte du soi qui le propulserait vers sa quintessence. Vers l'harmonie avec la symphonie de la nature et l'univers.
La cage est l'isolement, du fait du joug imposé par la réalité qui va à l'encontre de cette harmonie et qui bat à ton plein la cacophonie. La cage qu'est ce monde d'étrangeté.
S’adressant ici à lui-même , il dit que dans les moments de repos justement, ( donc de joie ) il "rechargeait les batteries" pour une prochaine découverte du soi qui le propulserait vers sa quintessence. Vers l'harmonie avec la symphonie de la nature et l'univers.
La cage est l'isolement, du fait du joug imposé par la réalité qui va à l'encontre de cette harmonie et qui bat à ton plein la cacophonie. La cage qu'est ce monde d'étrangeté.
S’adressant ici à lui-même , il dit que dans les moments de repos justement, ( donc de joie ) il "rechargeait les batteries" pour une prochaine découverte du soi qui le propulserait vers sa quintessence. Vers l'harmonie avec la symphonie de la nature et l'univers.
La cage est l'isolement, du fait du joug imposé par la réalité qui va à l'encontre de cette harmonie et qui bat à ton plein la cacophonie. La cage qu'est ce monde d'étrangeté.
Mais si tout cela n'est que dans sa tête ? Que rien n'ait de réalité matérielle ? Une cage matérielle a ses faiblesses. Qu'en est-il de celle de l'esprit...
Alexis Sanchez d'Arsenal , fût très courtisé par les plus grands clubs. Pour rester à Arsenal il a demandé un salaire fou !
Même les anti-foot le reconnaîtront pour cette scène très diffusée dans les réseaux sociaux x) !
A-t-il donc raison de penser que ce qui compte, c'est l'argent ?
En disant "sur les fleurs" , il fait sans doutes une référence à Baudelaire en son oeuvre : "Les fleurs du mal" . Car l'argent est source de bien du mal en ce bas monde.
Alexis Sanchez d'Arsenal , fût très courtisé par les plus grands clubs. Pour rester à Arsenal il a demandé un salaire fou !
Même les anti-foot le reconnaîtront pour cette scène très diffusée dans les réseaux sociaux x) !
A-t-il donc raison de penser que ce qui compte, c'est l'argent ?
En disant "sur les fleurs" , il fait sans doutes une référence à Baudelaire en son oeuvre : "Les fleurs du mal" . Car l'argent est source de bien du mal en ce bas monde.
Ou peut-être que, ça n'est que lui , qui essaye de trouver du sens à cette anarchie. Qui essaye de voir de la beauté en toute chose. Du réconfortant...
Voir de la couleur dans les cris, de l'eau claire dans la boue
They muddy the water to make it seem deep.
Nietzsche.
Traduction : Ils rendent boueuses les eaux pour les faire paraître profondes.
A méditer ...
Ou peut-être que, ça n'est que lui , qui essaye de trouver du sens à cette anarchie. Qui essaye de voir de la beauté en toute chose. Du réconfortant...
Voir de la couleur dans les cris, de l'eau claire dans la boue
They muddy the water to make it seem deep.
Nietzsche.
Traduction : Ils rendent boueuses les eaux pour les faire paraître profondes.
A méditer ...
Ou peut-être que, ça n'est que lui , qui essaye de trouver du sens à cette anarchie. Qui essaye de voir de la beauté en toute chose. Du réconfortant...
Voir de la couleur dans les cris, de l'eau claire dans la boue
They muddy the water to make it seem deep.
Nietzsche.
Traduction : Ils rendent boueuses les eaux pour les faire paraître profondes.
A méditer ...
Simplement par peur de sortir de son isolement, et d'aller à la rencontre du monde , et de son soi.
Simplement par peur de sortir de son isolement, et d'aller à la rencontre du monde , et de son soi.
Saviez-vous que le bois est un bon isolant thermique ? Ironique n'est-ce pas x) du fait de sa structure cellulaire, qui emprisonne de l'air sous forme de petits volumes, c'est un mauvais conducteur de la chaleur. ( Bon c'est pas moi qui le dis , alors arrêtez avec cet air incrédule ._. )
"Est-ce qu'on s'enlace pour défaire ces nœuds dans notre bois ?" : ô , humains... d'ou nous vient donc ce désir d'enlacer ? Et le bonheur de le faire ? Est-ce que dans cet enchevêtrement des êtres l'on réussit à défaire les nœuds de l'isolement, de tout ce qui nous semble étrange à soi. L'isolement de la chaleur humaine...
Saviez-vous que le bois est un bon isolant thermique ? Ironique n'est-ce pas x) du fait de sa structure cellulaire, qui emprisonne de l'air sous forme de petits volumes, c'est un mauvais conducteur de la chaleur. ( Bon c'est pas moi qui le dis , alors arrêtez avec cet air incrédule ._. )
"Est-ce qu'on s'enlace pour défaire ces nœuds dans notre bois ?" : ô , humains... d'ou nous vient donc ce désir d'enlacer ? Et le bonheur de le faire ? Est-ce que dans cet enchevêtrement des êtres l'on réussit à défaire les nœuds de l'isolement, de tout ce qui nous semble étrange à soi. L'isolement de la chaleur humaine...
L'isolement étant synonyme d'obscurité , en l'union la lumière jaillit.
Alors faisons donc jaillir la lumière , apportons cette lueur au monde.
Point culture !
Dans le courant du néo-platonisme ( en philosophie hein) un certain Plotin avait pour conception des choses que Dieu est lumière et qu'il est amour conjointement. Il pensait que tout être porte en lui des rayons du divin. En fait que nous sommes tous fait du divin. Ceux d'entre nous qui recevaient alors moins de rayons étaient les moins bons d'entre nous...
Imaginez donc la convergence de tous les rayons qui nous font ? Dieu.
Unissons-nous alors, que la lumière se manifeste.
L'isolement étant synonyme d'obscurité , en l'union la lumière jaillit.
Alors faisons donc jaillir la lumière , apportons cette lueur au monde.
Point culture !
Dans le courant du néo-platonisme ( en philosophie hein) un certain Plotin avait pour conception des choses que Dieu est lumière et qu'il est amour conjointement. Il pensait que tout être porte en lui des rayons du divin. En fait que nous sommes tous fait du divin. Ceux d'entre nous qui recevaient alors moins de rayons étaient les moins bons d'entre nous...
Imaginez donc la convergence de tous les rayons qui nous font ? Dieu.
Unissons-nous alors, que la lumière se manifeste.
L'isolement étant synonyme d'obscurité , en l'union la lumière jaillit.
Alors faisons donc jaillir la lumière , apportons cette lueur au monde.
Point culture !
Dans le courant du néo-platonisme ( en philosophie hein) un certain Plotin avait pour conception des choses que Dieu est lumière et qu'il est amour conjointement. Il pensait que tout être porte en lui des rayons du divin. En fait que nous sommes tous fait du divin. Ceux d'entre nous qui recevaient alors moins de rayons étaient les moins bons d'entre nous...
Imaginez donc la convergence de tous les rayons qui nous font ? Dieu.
Unissons-nous alors, que la lumière se manifeste.
Cette lumière, sera là. Triomphera lors des moments de désarroi et d'obscurité.
C'est elle qui fera hurler notre cœur, hurler que nous sommes infinité. Divins.
"Chaque être humain a quelque chose à faire sur cette terre de profondément unique"
C'est cette lumière qui nous fera réaliser que la "vérité" que nous sommes seuls n'est qu'une conception beaucoup trop simpliste. Les sens sont illusionnés , et c'est ce qu'ils perçoivent.
Nous ne sommes pas seuls.
Cette lumière, sera là. Triomphera lors des moments de désarroi et d'obscurité.
C'est elle qui fera hurler notre cœur, hurler que nous sommes infinité. Divins.
"Chaque être humain a quelque chose à faire sur cette terre de profondément unique"
C'est cette lumière qui nous fera réaliser que la "vérité" que nous sommes seuls n'est qu'une conception beaucoup trop simpliste. Les sens sont illusionnés , et c'est ce qu'ils perçoivent.
Nous ne sommes pas seuls.
Cette lumière, sera là. Triomphera lors des moments de désarroi et d'obscurité.
C'est elle qui fera hurler notre cœur, hurler que nous sommes infinité. Divins.
"Chaque être humain a quelque chose à faire sur cette terre de profondément unique"
C'est cette lumière qui nous fera réaliser que la "vérité" que nous sommes seuls n'est qu'une conception beaucoup trop simpliste. Les sens sont illusionnés , et c'est ce qu'ils perçoivent.
Nous ne sommes pas seuls.
Cette lumière, sera là. Triomphera lors des moments de désarroi et d'obscurité.
C'est elle qui fera hurler notre cœur, hurler que nous sommes infinité. Divins.
"Chaque être humain a quelque chose à faire sur cette terre de profondément unique"
C'est cette lumière qui nous fera réaliser que la "vérité" que nous sommes seuls n'est qu'une conception beaucoup trop simpliste. Les sens sont illusionnés , et c'est ce qu'ils perçoivent.
Nous ne sommes pas seuls.
Mais même si c'était le cas , cette lueur, serait salvatrice.
Alors toutes ces raisons qui nous ébranlent et nous éloignent de l'amour - pure et entier, que l'on doit porter envers soi, et donc envers les autres- ne représenteraient que des sources de voyage en soi. Et quel bonheur que de s'évader si loin à l'intérieur de nous-même !
"Et toutes mes joies ne furent que pause" : Ces moments d'insouciance , de satisfaction de soi ... ne sont que des moments de repos entre deux voyages.
Alors toutes ces raisons qui nous ébranlent et nous éloignent de l'amour - pure et entier, que l'on doit porter envers soi, et donc envers les autres- ne représenteraient que des sources de voyage en soi. Et quel bonheur que de s'évader si loin à l'intérieur de nous-même !
"Et toutes mes joies ne furent que pause" : Ces moments d'insouciance , de satisfaction de soi ... ne sont que des moments de repos entre deux voyages.
Et il se souviendra ce qu'est d'être manifestation divine. Hors de son isolement...
Et il se souviendra ce qu'est d'être manifestation divine. Hors de son isolement...