Credo che non manchi molto alla mia morte e devo
Je crois qu'il ne reste plus beaucoup de temps avant ma mort et je dois
Cominciare a non pensare, o perlomeno devo
Commencer à ne plus penser, ou du moins je dois
Continuare a fare tardi, anche quando sono stanco:
Continuer de me coucher tard, même si je suis fatigué :
Commettere gli sbagli che in fondo avrei voluto tanto tanto
Commettre les erreurs qu'au fond j'aurais tellement voulu
Fare con te!
Faire avec toi !
E stare con te!
Et rester avec toi !
Oh! Ma credo che non conti molto una preghiera al cielo
Quando senti che un secondo può passarti accanto come un treno.
Oh ! Mais je crois qu'une prière au ciel ne compte pas beaucoup
E più ti rendi conto che sei solo un passeggero,
Quand tu sens qu'une seconde peut te passer à côté comme un train.
E più respiri a fondo cercando qualcosa,
Et plus tu te rends compte que tu n'es qu'un passager,
Quel maledetto qualcuno
Et plus tu respires à fond cherchant quelque chose,
Che illumini il sentiero.
Ce maudit quelqu'un
La pioggia che scende mi rende nervoso...
Qui éclaire ton sentier.
Interrompe la quiete di questo mio momento silenzioso...
Ah! E' meraviglioso!
La pluie qui tombe me rend nerveux.
Ah!
Elle interrompt le calme de mon instant silencieux.
Starsene appoggiati sul divano ore ed ore,
Oh ! Elle est merveilleuse !
Sapendo che la noia è un'impressione!
Ah !
Starsene aggrappati come un petalo sul fiore,
Può essere un perfetto paragone
Rester enfoncer sur son canapé pendant des heures,
Con l'amore...
Sachant que l'ennui est une impression !
Si, ma credo che non manchi molto alla mia morte e devo
Rester acrocher comme une pétale sur sa fleur,
Cominciare a preoccuparmi di quei sogni che volevo, con te!
Peut être en parfaite comparaison
Fare ad ogni costo quando in mano non avevo altro
Avec l'amour.
Che i miei sogni da quattro soldi
Che ora uccidono il mio ego!
Oui, mais je crois qu'il ne reste plus beaucoup de temps avant ma mort et je dois
Commencer à me soucier de ces rêves que j'avais, avec toi !
Les faire à tout prix quand dans mes mains je n'avais
Rien d'autre que mes rêves à quatre sous
Qui maintenant tuent mon égo !