Pendus à vos lèvres, grandir ne suffit pas, à expliquer les rêves que je ne ferais pas.
Pendus à vos lèvres et l'enfance déjà, s'enfuit si se lèvent les réponses aux pourquois.
Pendus à vos lèvres, il parait que tout va bien, mais ma mémoire sans tête ne se souviens de rien...
Sauf, des lendemains de fêtes, de l'enfant qui se tient, debout dans ma tête sans me tenir la main.
Pendus à vos lèvres et l'enfance déjà, s'enfuit si se lèvent les réponses aux pourquois.
Pendus à vos lèvres et pourtant j'aimerais bien, que le temps s'arrête au moins jusqu'à demain.
Pendus à vos lèvres et l'enfance déjà, s'enfuit si se lèvent les réponses aux pourquois.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?