Les yeux écarquillés sur l' horizon immense,
Des joies qu' ils prolongeaient jusqu'à n' en plus finir
En des rêves éblouis ponctués de silences.
Leur merveilleux voyage s' il n' avait pas de fin
S' en revenait toujours flâner dans les guinguettes,
Et leurs propos alors paraissaient un refrain,
Où prononçant ces mots, ils partaient en goguette: