Je crie pour que l'on m'entende
Je crie pour que l'on m'attende les poches pleines quand l'âme peine, le bonheur n'est pas d'être reine
Je paie le prix de l'effort, je paye j'ai compris le prix fort, j'ouvre les points de suspension, quand d'autres marchent í l'unisson
J'avance et j'en suis fier, l'enfance en bandoulière, passe le vent, passe l'heure, passe le temps et les couleurs.
Je raye l'ardoise que je dois, mais c'est toujours sans mode d'emploi, juste pousser par le vent, on pourrait devenir grand,
Si le silence í tout les tors, j'apprend í vivre dans le meme corps, la peau est fine les jambes douces et mes sourires vous éclaboussent.
J'avance en genouillère, laissant mon ombre au vestiaire, passe le vent, passe l'heure, passe le temps et les couleurs,
L'enfance en bandoulière