Diane, Séléné (L'horizon chimérique - op. 118 n° 3) 1921
Diane, Séléné (L'horizon chimérique - op. 118 n° 3) 1921
Qui reflète vers nous, ta face déserte,
Dans l'immortel ennui du calme sidéral,
Le regret d'un soleil dont nous pleurons la perte.
Ô lune, je t'en veux de ta limpidité
Injurieuse au trouble vain des pauvres âmes,
Et mon coeur, toujours las et toujours agité,
Aspire vers la paix de ta nocturne flamme.